Danyèl Waro, de Georges Brassens au maloya
Dans Ces Chansons qui font une vie , des artistes viennent dévoiler leur rapport à la musique, leurs plaisirs coupables ou leurs inspirations en répondant à une série de questions : La première chanson que vous avez voulu acheter, la chanson de Papa, la chanson de Maman, la plus belle chanson du bon vieux temps, la première chanson que vous avez détestée avant de vous mettre à l'aimer, la chanson que vous êtes le seul à aimer, ou du moins que vous n'avez jamais réussi à faire partager à quelqu'un, la chanson que vous auriez aimé écrire, la chanson que vous avez honte d'aimer, la chanson que vous n'avez pas écrite mais qui parle de vous, la chanson qui vous accompagne pendant les insomnies…
Danyèl Waro est paradoxalement plus connu à l’étranger qu’en France, malgré son passeport. Il est Réunionnais et, en chantant le maloya, une musique turbulente et rebelle, il a transformé l’idée que son île se faisait d’elle-même, et l’a réconciliée avec sa batarsité, comme on dit en créole de la Réunion – c'est-à-dire son métissage.
Il est venu dans Ces chansons qui font une vie pour partager avec nous un peu de son univers musical intime.
Les chansons choisies par Danyèl Waro :
La Mauvaise Réputation par Georges Brassens (1952)
Chemin grand bois par Firmin Viry
Nailé par Danyèl Waro (2007)
Moin té crois pi par Alain Peters (1987)
Voleur canard par Jules Joron (1971)
Bridge Over Troubled Water par Simon & Garfunkel (1970)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série d’été La Face cachée des tubes.
Pendant le Tour de France, nous vous avons proposé, en vingt-trois épisodes, la chronique Ces chansons qui font le Tour.
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