Cet article date de plus de treize ans.

Sommes-nous germanophobes ?

Ces jours-ci, on a vu des hommes politiques et des personnalités des médias être accusés de germanophobie. Et la chanson ?
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (©)

Peut-être n’a-t-on jamais
dépassé en germanophobie , dans la chanson française, le célèbre Fils
de l’Allemand
qui proclamait, sous la IIIe République : « Ma
mamelle est française (…) Je ne vends pas mon lait / Au fils de l’Allemand ».

Mais le monde politique
parle beaucoup, ces jours-ci, de germanophobie. Vous l’avez entendu sur France
Info cette semaine et nous y revenons dans cette chronique.

Parce que si l’on ne peut
pas dire de but en blanc que la France est toujours marquée par la haine de
l’Allemand, il reste des traces dans notre chanson populaire .

 

 

 

 

Les chansons de la
chronique d'aujourd'hui :
Le Fils de l’Allemand par Michèle Bernard, *Choucrouten Tango

  • par Annie Cordy (1962), Tous les
    Allemands sont musiciens
    par Patrick Topaloff (1972), Frida Oum
    Papa
    par Annie Cordy (1975), Nuit et
    brouillard
    par Jean Ferrat (1963), Les Ricains par Michel Sardou (1967), L’Affiche rouge par Léo Ferré (1961), Les Vieux Allemands par Les Wampas (1998)
    , Göttingen par Barbara (1965), Göttingen par Barbara (version
    allemande, 1967).

 

Vous pouvez également
suivre l'actualité de cette chronique

 

Le livre qui accompagnait notre
chronique de cet été, Les chansons
qui ont tout changé
, est sur le kiosque de Radio-France et
en librairie avec sa cinquantaine
d'histoires de chansons historiques, de Ne
me quitte pas
de Jacques Brel à Didi
de Khaled, de Rock Around the Clock
par Bill Haley à Mignonne allons voir si la
rose
...

 

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