La fin du monde
Nous en avons terminé avec les vœux de bonne année. Et si cela était notre dernière bonne année –
puisque, vous le savez, il y a la prédiction maya qui nous promet la fin
des temps pour décembre 2012.
Il est amusant de se
rendre compte que l’on ne parle de la fin du monde, dans les chansons, que
depuis que l’homme a su créer des technologies capables de détruire toute vie
sur terre – et donc capables de susciter des peurs à ce point extrêmes.
Les chansons de la chronique d’aujourd’hui : Demain c’est la fin du monde par Charles Trenet (1966), La Fin du monde par Guy Bonnardot (1976), Plus
rien par Les Cowboys Fringants (2004),
La Fin du dernier monde connu par Gérard Manset (2004), Blues en fin du monde par Nino Ferrer (1993), Le jour où ça craquera par Anne Sylvestre (1965), Pour la fin du monde par Gérard Palaprat (1971), Je me fous de la fin du monde par Gilbert Bécaud (2005), Fin du monde par Emilien Antile (1974).
Mais que
dit-elle vraiment, la fameuse prédiction maya ? Un petit point ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9dictions_pour_d%C3%A9cembre_2012
Vous pouvez également
suivre l'actualité de cette chronique
Le livre qui accompagnait notre
chronique de cet été, Les chansons
qui ont tout changé , est sur le kiosque de Radio-France et
en librairie avec sa cinquantaine
d'histoires de chansons historiques, de Ne
me quitte pas de Jacques Brel à Didi
de Khaled, de Rock Around the Clock
par Bill Haley à Mignonne allons voir si la
rose ...
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