La chanson n'a aucun souci des équilibres comptables
On ne parle que de cela
ces dernières semaines : austérité ou rigueur, se demande-t-on, mais en
tout cas rééquilibrage des comptes .
Et pour tout dire, si en
France la droite comme la gauche font assaut de vertu comptable, la chanson n'a
pas exactement les mêmes passions. Et, pour tout dire, le verbe compter est
presque un gros mot dans la chanson française.
Les chansons de la chronique d'aujourd'hui :
En compta je suis vraiment nul par Les Jambons (2008)
Ces gens-là par Jacques Brel (1966)
La Comptabilité du père par André Heyboer dans La
Métamorphose de Michael Levinas (2012)
Cadeau par Marie Laforêt (1974)
Les Bons comptes par Francesca Solleville (2012)
Si l'on comptait les étoiles par Gaëtan Roussel (2010)
Pas trop fort à cause du comptable par Mireille (1937)
Vous
pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Les livres qui ont accompagnés
nos chroniques des étés précédents, Ces chansons qui font l'histoire et
Les chansons qui ont tout changé ,
sont l'un
et l'autre sur le kiosque de Radio-France
et présentent une centaine d'histoires de chansons historiques, de La
Marseillaise à No Woman No Cry de Bob Marley, de Ne me quitte pas de Jacques Brel à Tomber la chemise de Zebda, de Rock Around the Clock par Bill Haley à Mignonne allons voir si la rose ...
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