La chanson française rêve de l'Angleterre pop
Les Beatles, c’est le commencement. Avant, le mouvement était en sens inverse : la classe, l’élégance, la mode, c’est Paris. Les ploucs qui regardent avec envie de l’autre côté de la Manche, ce sont eux, les Anglais. D’ailleurs, ils ne parlent même pas français, les pauvres…
Puis est arrivée la fascination pour l’admirable Angleterre pop des années 60 – celle-là, les politiciens ne nous l’enlèveront pas.
Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :
Serge Gainsbourg, 69 année érotique, 1968
Marie Laforet, Manchester et Liverpool , 1966
Sandie Shaw, Londres, 1968
Victoire Scott, De Londres à Paris , 1968
Michel Polnareff, Encore un mois, encore un an , 1968
France Gall, La Guerre des chansons , 1966
Interview de « La Midinette de Londres », 1951
The King Brothers, Mais oui, 1960
The Beatles, Michelle , 1965
Mort Shuman, Sorrow (BOF A nous les petites Anglaises ), 1976
La Ruda, Un été en Angleterre, 2011
Thierry Hazard, Dans les brouillards de Londres , 1990
Michelle Torr, Le Jardin d'Angleterre, 1994
Mylène Farmer, Dans les rues de Londres , 2005
Dalida, Je préfère naturellement, 1966
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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