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Comment la chanson fabrique le genre

Si la plupart d'entre nous naissons avec une identité sexuelle qui nous paraît claire, la chanson nous aide beaucoup à devenir des garçons ou des filles.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Corrompre les frontières du genre ? C'est l'entreprise - très rare - de certains artistes des musiques populaires, comme Mylène Farmer.)

 

 

La chanson populaire est souvent le révélateur – voire le symptôme – de mécanismes sociaux dont nous n’avons pas toujours forcément conscience, comme la fabrique du genre, comme la manière dont nous sommes habitués depuis notre enfance à nous conduire selon des rôles sexués préétablis. Elle contribue même parfois à les protéger avec férocité.

 

 

Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

Mylène Farmer, Sans contrefaçon , 1988

Guy Béart, Qu'on est bien, 1957

Sylvie Vartan, Comme un garçon , 1967

France Gall, Si j'étais garçon , 1964

Gabriello, Ah si j'étais fille, 1933

Fababy (feat Aya Nakamura), Love d'un voyou , 2015

Mylène Farmer, Sans contrefaçon, 1988

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.

Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.

Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.

Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

 

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