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Ces chansons qui font l'actu. Que c'est triste, Venise (avec ou sans Aznavour)

L'immense tube du grand Charles est-il devenu proverbial ou a-t-il seulement confirmé la cafardeuse réputation de la Sérénissime ?

Article rédigé par franceinfo, Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 5 min
La basilique Saint-Marc sous les eaux à Venise, le 12 novembre 2019. (MARCO BERTORELLO / AFP)

Cette semaine, si vous avez suivi l’information ailleurs que sur franceinfo, il est tout à fait possible que l’on vous ait infligé cette évidence : Que c’est triste Venise par Charles Aznavour – un gros succès qui fête ses 55 ans cette année et que quelques médias paresseux ont fait entendre ces jours-ci derrière les images de Venise inondée – oui, c’était la pire aqua alta depuis 50 ans. Pour la couleur locale, on peut préférer la version italienne enregistrée par Aznavour...

Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :  

Charles Aznavour, Que c'est triste Venise, 1964

Charles Aznavour, Com'è triste Venezia, 1970

Charles Aznavour, Que c'est triste Venise, 1964

Les Compagnons de la chanson, Que c'est triste Venise, 1965

Cora Vaucaire, Il pleut sur Venise, 1963

Daphné, Venise sous la neige, 2010

Marc Lavoine, On n'ira jamais à Venise, 1993

Lefa, Rappelle-la, 2016

Sacha Distel, Le Voyage à Venise, 1974

Serge Reggiani, Venise n'est pas en Italie, 1977

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Tout cet été, nous avons eu le plaisir d'une longue conversation musicale avec une immense artiste dans La Playlist de Françoise Hardy. 

Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

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