Ce n'est pas seulement la qualité des compositions ou des textes qui explique que l'on ait oublié tant d'hymnes enregistrés pour les coupes du monde ou d'Europe.Il semble bien que la destinée des chansons liées aux compétitions internationales – je ne vais pas vous faire réécouter I Will Survive, c’est promis - soit liée à la réussite de notre équipe... Cela explique que l'on ait oublié beaucoup d'hymnes officiels ou officieux.Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de : Smash, Kamanda, 2018Claude Chevalier, La Marche du football, 1984Johnny Hallyday, Tous ensemble, 2002Les Supporters, Allez les bleus, allez la France, 1977Denise Fabre, Ollé la France, 1982Dalida, La Chanson du Mundial, 1982Bartone, France-Allemagne 82, 2005David Guetta, This One's For You, 2016Katerine et Helena Noguerra, Euro 04, 2004 Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur Twitter. En juillet et août dernier, nous avons passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidés dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson. Tout l’été 2016, en compagnie de Vincent Delerm, nous avons baguenaudé dans La Playlist amoureuse de la chanson, exploration buissonnière du patrimoine populaire. Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique d’été avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et franceinfo. Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.