C’est une chanson qui nous ressemble. Pourquoi Johnny Hallyday n’intéresse que les francophones
En partenariat avec l’exposition C’est une chanson qui nous ressemble – Succès mondiaux des musiques populaires francophones à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts, ces chroniques reviennent en détail sur chacune des histoires qui y sont présentées.
Parmi les chansons de supporters français des Jeux de Paris 2024, il y a eu Que je t’aime. Et, dans les tribunes, il a fallu expliquer aux voisins australiens, japonais, ou norvégiens, qui était Johnny Hallyday – notre Johnny. Le seul artiste de notre culture populaire à avoir atteint ce niveau de gloire et – disons-le – de reconnaissance de la République.
Mais dès que l’on passe les frontières de la francophonie, et que l’on s’adresse à des gens de moins de 50 ou 60 ans, il est à peu près inconnu.
Pourtant, il s’est donné du mal…
Dans cet épisode de C’est une chanson qui nous ressemble, vous entendez des extraits de :
Sono et public au Club France, JO de Paris 2024
Johnny Hallyday, Quanto ti amo, 1969
Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, Vielleicht bist du fur mich noch nicht die grosse liebe, 1973
Johnny Hallyday, Altin Yusuk, 1967
Johnny Hallyday, I Wanna Made Love to You, 1994
Johnny Hallyday, Blue Suede Shoes, 1996
Rocky Roberts, Stasera mi butto, 1967
Adriano Celentano, Prisencolinensinainciusol, 1975
Udo Jürgens, Das ist nicht gut fü mich, 1966
Raphael, Poco a poco, 1966
Johnny Hallyday, Que je t'aime, 1969
Vous pouvez aussi prolonger cette chronique avec le livre C’est une chanson qui nous ressemble aux éditions du Patrimoine.
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