C’est une chanson qui nous ressemble. Pourquoi Johnny Hallyday n’intéresse que les francophones

Si pour la chanson française, il reste le taulier avec un statut inégalé, Johnny Hallyday n’a pas beaucoup été écouté à l’étranger. Peut-être était-il trop américain...
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Johnny Hallyday, le 1 octobre 1983. (Bertrand LAFORET / Contributeur GETTY IMAGE)

En partenariat avec l’exposition C’est une chanson qui nous ressemble – Succès mondiaux des musiques populaires francophones à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts, ces chroniques reviennent en détail sur chacune des histoires qui y sont présentées.

Parmi les chansons de supporters français des Jeux de Paris 2024, il y a eu Que je t’aime. Et, dans les tribunes, il a fallu expliquer aux voisins australiens, japonais, ou norvégiens, qui était Johnny Hallyday – notre Johnny. Le seul artiste de notre culture populaire à avoir atteint ce niveau de gloire et – disons-le – de reconnaissance de la République.

Mais dès que l’on passe les frontières de la francophonie, et que l’on s’adresse à des gens de moins de 50 ou 60 ans, il est à peu près inconnu.

Pourtant, il s’est donné du mal…

Dans cet épisode de C’est une chanson qui nous ressemble, vous entendez des extraits de :

Sono et public au Club France, JO de Paris 2024

Johnny Hallyday, Quanto ti amo, 1969

Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, Vielleicht bist du fur mich noch nicht die grosse liebe, 1973

Johnny Hallyday, Altin Yusuk, 1967

Johnny Hallyday, I Wanna Made Love to You, 1994

Johnny Hallyday, Blue Suede Shoes, 1996

Rocky Roberts, Stasera mi butto, 1967

Adriano Celentano, Prisencolinensinainciusol, 1975

Udo Jürgens, Das ist nicht gut fü mich, 1966

Raphael, Poco a poco, 1966

Johnny Hallyday, Que je t'aime, 1969

Vous pouvez aussi prolonger cette chronique avec le livre C’est une chanson qui nous ressemble aux éditions du Patrimoine.

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