A quoi sert un disquaire ? Que nous dit un vinyle ?
À propos, à quoi servaient les disquaires, à part vendre des disques ? Retour sur ces années où l’on construisait son identité en achetant des disques…
Dans le premier épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Rockollection par Laurent Voulzy (1977)
La Chanson de Ziggy, extrait de Starmania par Éric Estève (1978)
Ma vie c’est du cinéma par Starshooter (1980)
J’achète des disques américains par Stella (1966)
Mon disque dort par Arnaud Fleurant-Didier (2003)
Mon disque dort par Thibaut Derien (2010)
Achetez notre disque par Le Bain Didonc (1965)
Le Disquaire Day est aussi l’occasion de renouer avec le son si singulier du vinyle, et avec les émotions irremplaçables qu’il suscita longtemps.
Dans le second épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Le Disque usé par Édith Piaf (1943)
Disk la réyé par Joby Valente (1973)
Innocent When Tou Dream (Barroom) par Tom Waits (1987)
Innocent When Tou Dream (78) par Tom Waits (1987)
C’est le disque d’amour par Suzy Solidor (1935)
Le Disque des vacances par Danielle Denin (1965)
Adieu mon pays par Booba (2015)
Leguisamo solo par Carlos Gardel (1925)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-neuf épisodes de notre série d’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.