Réforme des retraites, lancement de Renaissance, bénévolat... Le "8h30 franceinfo" de Marlène Schiappa

Marlène Schiappa, secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale et solidaire et de la Vie associative était l'invitée du "8h30 franceinfo", dimanche 18 septembre 2022. Réforme des retraites, Renaissance, bénévolat... Elle répond aux questions de Neila Latrous et Lorrain Sénéchal.

Réforme des retraites : "une nécessité" pour Bayrou aussi

"Qu'il s'exprime, c'est tout à fait normal", réagit Marlène Schiappa, secrétaire d'Etat chargée de l'Economie sociale et solidaire et de la vie associative, après l'interview de François Bayrou dans Le Parisien, qui met en garde Emmanuel Macron contre le risque d'un "passage en force" sur la réforme des retraites.

"François Bayrou a une place importante dans notre majorité et dans notre histoire politique depuis 2017", reconnaît Marlène Schiappa. "J'observe surtout que dans cette interview, il dit que cette réforme est une nécessité", affirme-t-elle. "Il ne faut pas qu'on aille tous plus vite que la musique, il y a des concertations, il y a des pistes, toutes les portes sont ouvertes", dit Marlène Schiappa.

Lancement de Renaissance : "un nouvel élan"

"Il s'agit de marquer un nouvel élan", explique Marlène Schiappa alors que le mouvement En Marche devient Renaissance. "Ensemble, nous avons réussi" à gagner l'élection présidentielle de 2017 hors des partis traditionnels, rappelle la secrétaire d'État, soutien de la première heure d'Emmanuel Macron. "Désormais, nous avons des élus et grands élus. C'est un travail d'ancrage politique et de redéfinition de nos valeurs."

Métiers du social : "un alignement sur le point d'indice des fonctionnaires"

"L'avantage des métiers du social, c'est qu'ils sont porteurs de sens et qu'aujourd'hui, la quête de sens est de plus en plus marquée", explique Marlène Schiappa. "Mais ce sont aussi des métiers éprouvants, épuisants. C'est pourquoi nous avons décidé d'aligner les augmentation de salaires du secteur sanitaire et social sur l'augmentation du point d'indice pour les fonctionnaires", argumente la secrétaire d'État.

Revoir l'interview en intégralité :