Côtes-d'Armor : un établissement scolaire touché par une intoxication au monoxyde de carbone

Publié
Durée de la vidéo : 2 min
Un établissement scolaire de Saint-Alban (Côtes-d'Armor) a été touché par une série d'intoxications au monoxyde de carbone dans la matinée du vendredi 8 décembre. Les victimes hospitalisées seraient toutes hors de danger.
Côtes-d'Armor : un établissement scolaire touché par une intoxication au monoxyde de carbone Un établissement scolaire de Saint-Alban (Côtes-d'Armor) a été touché par une série d'intoxications au monoxyde de carbone dans la matinée du vendredi 8 décembre. Les victimes hospitalisées seraient toutes hors de danger. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - C.Wormser, J.-M.Seignier, C.Le Calvé, K.Hannedouche, S.Ruaux
France Télévisions
franceinfo
Un établissement scolaire de Saint-Alban (Côtes-d'Armor) a été touché par une série d'intoxications au monoxyde de carbone dans la matinée du vendredi 8 décembre. Les victimes hospitalisées seraient toutes hors de danger.

Cinq heures après l'incident, des parents inquiets viennent encore faire tester leurs enfants par les secours à Saint-Alban (Côtes-d'Armor). Vers 11h, vendredi 8 décembre, l'école primaire Saint-Guillaume a été évacuée dans l'urgence. Une intoxication au monoxyde de carbone était alors suspectée. 76 élèves et cinq adultes ont été pris en charge dans la salle des fêtes de la commune. Le plan "nombreuses victimes" a rapidement été activé. 55 pompiers, six équipes du SAMU et quatre hélicoptères ont été déployés pour faciliter l'évacuation des écoliers.

Six enfants placés en caisson hyperbare

25 victimes ont été réoxygénées sur place, et 23 autres ont été hospitalisées. Six enfants ont dû être placés en caisson hyperbare au CHU de Brest (Finistère). Les causes exactes de l'incident ne sont pas encore connues. "Au stade où on en est, il semblerait qu'il y ait un défaut de fonctionnement de la chaudière au fioul qui équipe cette école", a indiqué David Cochu, sous-préfet de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor). Vendredi soir, les victimes hospitalisées seraient toutes hors de danger.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.