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[Vidéo] Nicolas Sarkozy propose que trois débats soient organisés entre les deux finalistes

Nicolas Sarkozy a prononcé son discours d'après premier tour, dimanche 22 avril, à la Mutualité à Paris. Une intervention sur fond de mise au point face "à toutes les prédictions" et d'appel à la mobilisation adressé aux Français pour le second tour.
Article rédigé par Catherine Rougerie, Isabelle Gautier
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Nicolas Sarkozy, accompagné de son épouse Carla Bruni, salue ses soutiens à la Mutualité (Paris), le 22 avril 2012. (AFP - Kenzo Tribouillard)

Nicolas Sarkozy a prononcé son discours d'après premier tour, dimanche 22 avril, à la Mutualité à Paris. Une intervention sur fond de mise au point face "à toutes les prédictions" et d'appel à la mobilisation adressé aux Français pour le second tour.

Ses supporters l'attendaient depuis plusieurs heures.

Quand Nicolas Sarkozy est arrivé au palais de la Mutualité, accompagné de son épouse, Carla Bruni, ils l'ont alors acclamé. Avec ferveur.

Le président-candidat est monté à la tribune pour s'adresser à tous ses soutiens et au-delà, à "tous les Français".

"Nous pouvons aborder le second tour avec confiance"

"Avec une participation supérieure à 80 % les français ont pris la mesure du choix historique qu'ils ont à faire pour l'élection présidentielle. Ils ont fait un acte de civisme. Ils ont démenti toutes les prédictions et tous les pronostics", a commencé M. Sarkozy.

"Ces deux semaines doivent permettre à chacun d'entre vous de faire un choix dans la clarté. Tout doit être débattu (...) Il s'agit de choisir celui qui aura la responsabilité de protéger les français", a-t-il poursuivi.

Le Président a aussi mis au défi son adversaire socialiste. "Je propose que trois débats soit organisé entre les candidats, sur l'économie, les questions de société, l'international" (...) Les français ont le droit à la vérité et à à la clarté", a-t-il lancé.

"J'appelle tous les Français qui mettent la patrie au-dessus de tout à me rejoindre".

"Nous pouvons aborder le second tour avec confiance", a conclu M. Sarkozy.

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