Primaire de la droite : ce qu'il faut retenir du troisième débat
Les sept candidats se sont affrontés hier, jeudi 17 novembre, lors d'un troisième et dernier débat.
Ce sont leurs derniers mots pour le grand oral, les trois favoris savent qu'ils seront décisifs. "Mes propositions sont sur la table, elles sont crédibles, claires", a dit Alain Juppé. "La France a besoin d'autorité, j'ai cette autorité", a lancé Nicolas Sarkozy, après 2h40 de débats jeudi 17 novembre, à trois jours du premier tour de la primaire.
Supprimer 500 000 emplois publics
L'émission a été marquée par plusieurs accrochages, notamment sur la question des migrants ou encore sur "l'identité heureuse" chère à Alain Juppé. Il y a également eu un échange tendu entre François Fillon et Alain Juppé au sujet de la réduction du nombre de fonctionnaires. "Le passage de 35 à 39h pour les 5,5 millions d'emplois publics, ça représente la possibilité de réduire de 500 000 les emplois publics", a expliqué François Fillon. Quant à Nicolas Sarkozy, il a manifesté une colère froide quand David Pujadas l'a interrogé sur le possible financement libyen de sa campagne de 2007.
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