Les politiques veulent la visibilité par le Web
Voici une récente analyse apparue sur le site RSLN édité par Microsoft France, traitant de l'évolution en matière de campagne sur la toile, et du changement des pratiques de la majorité comme de l'opposition, toujours dans le sens de la provocation et de la création du "buzz". ( Voir l'analyse)
Actuellement, campagne pour les régionales oblige, tous ont déployé les grands moyens afin d'améliorer leurs sites désormais dédiés au sujet. L'occasion pour les partis d'enregistrer en ligne des pics d'audience jusque-là inconnus.
Rappelons nous la création il y a quelques semaines de La Coopol le Facebook du PS, et Les Créateurs de possible de l'UMP. Selon cette analyse, l'évolution des comportements et des stratégies ne se limitent pas aux nouveaux réseaux sociaux de ce type, mais cela touche également les sites dits "classiques"des partis.
Des sites plus vivants et modernes
Les principaux griefs que l'on pouvait leur reprocher allaient de leur manque d'interactivité à des contenus sans grand relief. Mais conscients de ces lacunes, les partis tentent de se rattraper avec de nouvelles versions plus dynamiques de leurs sites, d'où le recrutement de vrais professionnels du WEB, rien que pour ça.
les sites des partis politique tendent désormais à s'ouvrir au grand public et non seulement aux adhérents et aux bénévoles, les nouvelles versions des sites s'efforcent d'impliquer davantage le citoyen internaute. Concrètement, cela se traduit par la présence accrue de quiz, de sondages, de tribunes ou de forums de discussion. L'élèment vidéo est plus que jamais présent, avec la multiplication de chats vidéo, d'interviews, d'insolites et des retransmissions en direct et en différé des grands événements du parti. Ils devienent ainsi une vraie source d'information.
Ces sites servent de vitrines, ce qui a justement tendance à agacer. De plus en plus de voix se lèvent contre un certain vide dans le contenu des sites, et réclament pour ce dernier la même attention que celle accordée au visuel, mais ceci est une histoire.
( Voir l'analyse)
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