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Marlène Schiappa envisage d'être candidate à la tête de La République en marche

Pour succéder à Christophe Castaner, parti au ministère de l'Intérieur, un appel à candidatures sera lancé du 29 octobre au 14 novembre. 

Article rédigé par franceinfo avec AFP
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Publié Mis à jour
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Marlène Schiappa, lors d'un meeting de La République en marche, à Lyon, le 29 septembre 2018. (JEFF PACHOUD / AFP)

Marlène Schiappa envisage de se présenter à la tête de La République en marche (LREM), le parti d'Emmanuel Macron dont la direction est vacante depuis la nomination de Christophe Castaner place Beauvau, annonce la secrétaire d'Etat à l'Egalité femmes-hommes dans Le JDD du dimanche 21 octobre. 

Je réfléchis à présenter ma candidature mais nous verrons quand le moment sera venu.

Marlène Schiappa

au "JDD"

Le communicant Philippe Grangeon, proche d'Emmanuel Macron, a été choisi vendredi par le bureau exécutif de LREM pour assurer l'intérim à la tête du parti présidentiel. Outre Marlène Schiappa, plusieurs figures du parti ont marqué leur intérêt pour en prendre la direction, notamment les députés de Paris Stanislas Guerini, Pierre Person et Sylvain Maillard, ou encore le député des Français de l'étranger Joachim Son-Forget. L'appel à candidatures sera formellement lancé à partir du 29 octobre et jusqu'au 14 novembre.

"Aucun adversaire" au sein de LREM

"Le parti est un tout jeune parti", plaide Marlène Schiappa dans Le JDD. "Il a été un bébé, a appris à marcher. Nous sommes désormais sur nos deux jambes et nous pourrions nous politiser encore plus", explique cette adhérente de la première heure de la formation majoritaire à l'Assemblée.

La secrétaire d'Etat, qui vient de voir son portefeuille élargi à la Lutte contre les discriminations, assure n'avoir "aucun adversaire" au sein de LREM, "parce que nous sommes unis autour d'un projet, du président de la République".  "La structuration dans les territoires, la communication politique" et "les valeurs et les idées" sont à ses yeux les éléments essentiels d'un parti qui se doit de "soutenir les équipes dans les territoires, mettre de l'huile dans les rouages".

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