Retrouvez ici l'intégralité de notre live #FILLON
18h56 : Après François et Penelope Fillon, deux des enfants du couple, Marie et Charles, vont être entendus demain par la justice, selon RTL.
17h29 : Comme Penelope Fillon, Jeanne Robinson-Behre a été l'assistante parlementaire de Marc Joulaud, le suppléant de François Fillon. Sauf que les deux femmes n'avaient pas du tout le même salaire. Marc Joulaud rémunérait Jeanne Robinson-Behre 607 euros par mois et dans le même temps, Penelope Fillon était payée en moyenne 6 000 euros net. Elle a régi dans Le Courrier de l'Ouest.
17h15 : "Par une réaction tardive, [François Fillon] a contribué à créer un feuilleton médiatique et judiciaire qui est aujourd'hui hémorragique."
L'ex-Premier ministre a critiqué mercredi la stratégie de défense de François Fillon dans une interview à Yahoo! et SciencePo TV. "On ne peut pas mener un combat personnel dans une époque accélérée qu'est le temps présidentiel", a-t-il ajouté.
15h46 : Simple "maison", beau "manoir", véritable "château"... Les dénominations varient. Mais une question revient depuis le début de l'affaire Fillon : quelle est la valeur réelle de la demeure des Fillon dans la Sarthe ? Des professionnels du secteur ont répondu à la question.

(JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP)
15h09 : "Depuis des années, nous nous battons pour une meilleure reconnaissance de la profession et nous sommes peu entendus."
Le collaborateur parlementaire de deux sénateurs du Rassemblement démocratique social européen a demandé sur franceinfo "un meilleur encadrement" de ce métier, en pleine affaire Fillon.
14h41 : Bonjour @anonyme. Nous vous expliquons le contexte de ces deux e-mails publiés par François Fillon dans cet article. La journaliste les a envoyés avant la diffusion du reportage. "Ce qui est dans l'émission, ce sont les faits, insiste-t-elle. Vous n'avez pas détourné quoi que ce soit, vous avez utilisé les mots que j'ai dits, le contexte de cette interview."
14h25 : Vous n'avez toujours pas publié les mails publiés par Fillon sur la journaliste anglaise.Vous allez finir par me rendre sympatique mr Fillon. En fait, c'est la droite que les médias veulent eliminer ...Honte.
14h18 : Le candidat de la droite, englué dans les affaires, aurait touché 200 000 euros, entre mi-2012 et mi-2014, de la banque d'assurance Axa. Mais que faisait-il pour cette entreprise ? François Fillon a aidé Axa sur les négociations d'une directive européenne et a également facilité ses échanges en Allemagne et à la commission européenne. Plus de détails dans cet article.
11h38 : Jeanne Robinson-Behre y exprime son "respect" pour Penelope Fillon, mais affirme une nouvelle fois n'avoir "pas travaillé avec elle", en tout cas "pas directement". Ce qui "ne veut pas dire qu'elle ne travaillait pas" pour François Fillon, tempère-t-elle.
11h38 : Depuis ses déclarations dans Le Canard enchaîné du 25 janvier, point de départ de l'affaire Fillon, elle avait refusé de s'exprimer. Jeanne Robinson-Behre, ancienne assistante parlementaire de Marc Joulaud, qui fut employeur de Penelope Fillon et suppléant de François Fillon, s'est finalement livrée dans une interview au quotidien Le Courrier de l'Ouest.
09h27 : Les révélations autour de François Fillon continuent de faire réagir, y compris dans son propre camp. "Il faut tout décaper : un grand nettoyage" du monde politique, a proposé Christian Estrosi sur RTL. De son côté, Bruno Beschizza, maire Les Républicains d'Aulnay-sous-Bois, estime que sa conférence de presse de lundi n'est pas "suffisante".
08h43 : Invité ce matin sur France 2, François Bayrou a dénoncé le travail de conseil de François Fillon pour des entreprises privées. "La responsabilité politique est une responsabilité qui normalement doit être mise à l'abri des intérêts", a-t-il déclaré.
(FRANCE 2)
06h24 : "En trente-deux ans de vie politique, je n'ai jamais été mis en cause dans une affaire. J'ai toujours agi dans la stricte légalité et dans la plus parfaite honnêteté. Mais j'ai commis une erreur : en travaillant avec mes proches, j'ai privilégié une collaboration de confiance qui aujourd'hui, suscite la défiance."
François Fillon renouvelle également ses excuses.
07h24 : "Au terme d'une campagne médiatique et politique d'une violence inouïe, j'ai choisi de m'adresser directement à vous pour vous dire ma vérité."
Après avoir présenté ses excuses lors d'une conférence de presse devant 200 journalistes, lundi, François Fillon adresse une tribune aux Français, sous forme de lettre dans Ouest-France.