Moralisation de la vie politique : le travail des déontologues
Les deux hommes bricolaient devant chez eux. Les boîtes aux lettres sont transpercées par les balles.
Mon frère avait des droits. Droits de vie, d'amour. C'est quelqu'un d'aimant. Il a tout fait pour tout le monde. Il aurait donne sa vie pour la mienne, pour sa femme.
Le bonheur d'une vie simple qui bascule. C'est quand il n'y a plus d'humanité, plus de conscience de l'être humain.
Fabrice Martinez avait 34 ans. Marié, il était le fils aîné d'une famille heureuse. Ses proches ne comprennent pas comment le tueur a pu circuler arme.
C'est pas un fou, il est responsable de ses actes. Il doit payer pour ce qu'il a fait. Etre conscient qu'il a peut-être voulu être un héros mais qu'il a brisé des vies.
Il venait boire l'apéritif tous les jours avec nous. Il nous téléphonait tous les jours, c'est un grand vide. Je veux le voir tous les jours mais je sais pas comment je vais réagir quand il sera plus là.
Les obsèques de Fabrice Martinez se dérouleront demain à Istres.
Avez-vous déjà entendu parler du logement participatif ? Il s'agit d'un nouveau mode de construction. Des particuliers se rassemblent, le collectif met au point un projet d'immeuble. Sans promoteur, c'est l'idée, grâce à l'aide de la mairie. Au final, on choisit sa maison et ses voisins.
A Strasbourg, cet immeuble est sorti de terre il y a deux ans. Il a été conçu par ceux y vivent. Chacun a son logement, mais des pièces sont à usage collectif.
Voici la salle commune. Elle peut servir de salle de fête pour les anniversaires, on peut y prendre un repas en commun, et c'est une salle de réunion.
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