Cet article date de plus de cinq ans.

Vidéo Soupçons de collusion avec l'Ukraine : "Une destitution pour ça ? C'est une blague !", s'insurge Donald Trump

Le président américain s'est insurgé contre la procédure de destitution qui le vise.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Donald Trump lors d'une conférence de presse en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, à New York, le 25 septembre 2019. (DREW ANGERER / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)

Donald Trump s'est insurgé, mercredi 25 septembre, de la procédure de destitution lancée à son encontre par les élus démocrates. Le président américain est soupçonné d'avoir fait pression sur son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, pour qu'il enquête sur le démocrate Joe Biden. Plus tôt dans la journée, la Maison Blanche a publié le contenu d'une conversation téléphonique dans laquelle il demande effectivement au président ukrainien d'enquêter sur son rival. "Une destitution pour ça ? C'est une blague !", a estimé Donald Trump, lors d'une conférence de presse en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.

FTVI_MOD C'est une blague, Trump sur sa possible destitution
FTVI_MOD C'est une blague, Trump sur sa possible destitution FTVI_MOD C'est une blague, Trump sur sa possible destitution

"Nous allions le faire de toute façon, mais j'ai informé tous les membres de la Chambre des représentants que je soutenais pleinement la transparence sur les informations concernant le soi-disant lanceur d'alerte", qui a signalé le premier ces échanges téléphoniques, a ajouté le président américain. Il a néanmoins insisté pour qu'il y ait également "transparence sur Joe Biden et son fils Hunter", concernant "les millions de dollars qui ont été rapidement et facilement sortis d'Ukraine et de Chine lorsque [le démocrate] était vice-président". Donald Trump a aussi réclamé de la "transparence de la part des démocrates qui sont allés en Ukraine et ont essayé de contraindre le nouveau président" Volodymyr Zelensky à "faire des choses", en utilisant des "menaces", selon lui.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.