Présidentielle américaine : l'équipe de Donald Trump fait peur
La nomination dans l'équipe de Donald Trump de plusieurs personnalités ultra-conservatrices jette le trouble sur les intentions de la nouvelle administration.
Donald Trump a commencé par des concessions : il ne souhaite par exemple plus purement et simplement supprimer l'Obamacare mais le remplacer par un autre système équivalent mais "beaucoup moins cher". Il a également revu à la baisse le nombre d'expulsions de clandestins prévues pendant sa campagne. Il ne reviendra pas non plus sur le mariage homosexuel.
Opposition à l'avortement et port d'armes
D'un autre côté, la nomination des premiers membres de son équipe laisse présager d'une politique particulièrement conservatrice sur des sujets comme l'avortement et le port d'armes. Il a notamment appelé à ses côtés Steve Bannon, son nouveau conseiller en stratégie, qui flirte avec l'extrême droite et les théories conspirationnistes. De même pour son vice-président Mike Pence, connu pour ses positions très droitières.
À regarder
-
Pourquoi n'y a-t-il que deux grands partis aux Etats-Unis ?
-
Élection présidentielle aux États-Unis : le business des produits dérivés
-
Election américaine : "I have a Glock", quand Kamala Harris parle de son arme
-
Élection américaine : les démocrates contrôlent-ils la météo ?
-
Un bar à thème présidentiel aux États-Unis
-
La "Bible Trump" bientôt dans les écoles ?
-
Une interview de Melania Trump à 250 000 dollars ?
-
Une statue géante de Donald Trump aux États-Unis
-
Kamala Harris traite Donald Trump de poule mouillée
-
Des singes prédisent le résultat de l'élection américaine
-
Élection américaine : rencontre avec Raymond, électeur de Donald Trump
-
Visée par Donald Trump, la communauté haïtienne de Springfield est devenue la cible de l'extrême droite
-
Une possible tentative d'assassinat visant Donald Trump
-
Ce que va changer le soutien de Taylor Swift à Kamala Harris
-
Ce qu'il faut retenir du débat entre Kamala Harris et Donald Trump
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.