Etats-Unis : "Je pense que la torture donne ses résultats, mais je suivrai l'avis de nos dirigeants", déclare Donald Trump
![](https://www.francetvinfo.fr/pictures/LAyZVSNKw2LkGJX2k9Cs0CarjUg/100x100/2021/12/14/61b8b98872dce_benoit-zagdoun.png)
![](https://www.francetvinfo.fr/pictures/5vaBjVzO_3dI2NaSgj5injWJ3rQ/100x100/2021/12/14/61b8b99c2eb1f_vincent-daniel.png)
![](/assets/common/images/logos/placeholder-ed0347d3.png)
La Première ministre britannique est le premier dirigeant étranger reçu, vendredi, dans le Bureau ovale par le nouveau président républicain.
Ce qu'il faut savoir
A peine installé à la Maison Blanche, Donald Trump reçoit, vendredi 27 janvier, la Première ministre britannique, Theresa May, pour évoquer les liens commerciaux post-Brexit et donner une impulsion différente à "la relation spéciale" entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni.
Un coup diplomatique. En devenant le premier dirigeant étranger reçu dans le Bureau ovale par le nouveau président républicain, la Première ministre britannique réussit à s'imposer. Mais elle sait aussi que ses faits et gestes seront scrutés à la loupe par les alliés des Etats-Unis, qui s'interrogent sur l'attitude à adopter face au nouveau président américain arrivé au pouvoir avec comme slogan : "l'Amérique d'abord".
"Parfois, les contraires s'attirent." C'est l'étonnante formule de Theresa May, fille de pasteur réservée, lorsqu'elle a évoqué sa future rencontre avec l'exubérant et imprévisible septuagénaire. Sa décision de se rendre à Washington une semaine après la prestation de serment du magnat de l'immobilier a d'ailleurs suscité une controverse au Royaume-Uni.
Négociations pour un futur accord commercial. Le Royaume-Uni peut "discuter" d'un éventuel accord de libre-échange avec un pays tiers, mais pas "négocier" tant qu'il reste membre de l'UE, lui a fermement rappelé la Commission européenne. "Je n'ai pas encore de secrétaire au Commerce", a par ailleurs souligné, jeudi, Donald Trump.