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Fusillade dans une école primaire au Texas : "Perdre un enfant, c'est se faire arracher une partie de son âme", déclare Joe Biden

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Fusillade dans une école primaire au Texas : "Perdre un enfant, c'est se faire arracher une partie de son âme", déclare Joe Biden
Fusillade dans une école primaire au Texas : "Perdre un enfant, c'est se faire arracher une partie de son âme", déclare Joe Biden Fusillade dans une école primaire au Texas : "Perdre un enfant, c'est se faire arracher une partie de son âme", déclare Joe Biden (france 2)
Article rédigé par France 2
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Une tuerie a été perpétrée mardi 24 mai dans une école primaire située au Texas, aux États-Unis. Le journaliste Matthieu Mabin était en direct pour le 8 Heures de France 2, mercredi, afin de faire le point sur les déclarations qui ont suivi cette attaque.

L'Amérique est encore sous le choc après la tuerie perpétrée mardi 24 mai dans une école primaire d'Uvalde, dans l'État du Texas (États-Unis). "La réaction la plus attendue était celle du président des États-Unis, Joe Biden, qui a appris la nouvelle alors qu'il était encore dans l'avion du retour d'un voyage officiel au Japon", rapporte le journaliste Matthieu Mabin, en direct pour le 8 Heures de France 2, mercredi. Visiblement bouleversé, le président américain a déclaré : "Perdre un enfant, c'est se faire arracher une partie de son âme."

Selon Ted Cruz, il faut armer les professeurs


Joe Biden "est aussi bouleversé qu'impuissant, car comme ses prédécesseurs, il se heurte à ce phénomène récurrent des tueries de masse, et comme ses prédécesseurs, l'administration Biden se heurte aussi au tout puissant lobby des armes aux États-Unis, la NRA", explique Matthieu Mabin. La National Rifle Association (NRA) est "défendue bec et ongles par Ted Cruz, ce sénateur du Texas, qui, lui, considère que pour défendre les enfants des écoles américaines, il faut tout simplement armer les professeurs", ajoute le journaliste. Un autre sénateur, Chris Murphy, a quant à lui interpellé l'ensemble de ses collègues, en particulier les plus anciens, en demandant : "Qu'avez-vous fait, qu'avons-nous fait ces dernières années pour protéger nos enfants ?"

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