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Syrie : la trêve a été globalement respectée

L'accord sur la cessation des hostilités a été globalement respecté dans l'ouest et dans le nord de la Syrie mais sont exclues les deux principales organisations djihadistes qui elles ont mené de nouvelles actions aujourd'hui.   
Article rédigé par Valérie Crova
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1 min
  (L'accord de cessation des hostilités initié par Washington et Moscou, deux acteurs majeurs dans le conflit, et soutenu par le Conseil de sécurité de l'ONU, est entré en vigueur dans la nuit de vendredi à samedi)

 Depuis minuit une trêve partielle est en vigueur, trêve négociée par Moscou et Washington et présentée par les Nations unies comme une chance de relancer les pourparlers de paix.

 

Un incident mais pas une violation de la trêve : c’est ainsi que les officiels syriens qualifient la chute d’une dizaine d’obus dans la capitale. D’habitude, les tirs de représailles de l’armée syrienne sont quasi immédiats. Cette fois, elle n’a pas riposté. Damas s’est engagée à respecter l’accord soutenu par Moscou et Washington.

 

De l’autre côté de la Syrie, à Alep, coupée en deux depuis juillet 2012 entre régime et rebelles, deux personnes ont été tuées et quatre autres blessées dans un quartier kurde par des obus tiré par le front Al Nosra, qui a dénoncé l’accord hier.

 

Al Nosra n’est pas partie prenante à l’accord, comme l’Etat islamique qui a revendiqué un attentat suicide dans la province de Hama.

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