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23h28 : Les dirigeants américain Joe Biden et allemand Olaf Scholz ont exigé de la Russie qu'elle prenne "de véritables mesures de désescalade" pour éviter tout conflit avec l'Ukraine. "Le risque d'une nouvelle agression militaire de la Russie contre l'Ukraine persiste, la plus grande vigilance est nécessaire", ont-ils prévenu, estimant "qu'aucun retrait significatif des troupes russes n'a été observé jusqu'à présent".
20h20 : "Nous n'avons peur d'aucun pronostic, nous n'avons peur de personne (...) car nous allons nous défendre."
Face à la menace russe à la frontière, le président ukrainien a assuré que son pays était prêt. "Nous avons d'excellentes forces armées" et "nous sommes forts car nous sommes ensemble, nous sommes Ukrainiens", a déclaré le chef de l'Etat habillé en tenue militaire. Après des semaines d'escalade, la Russie, qui dément tout projet d'invasion, a annoncé le retrait d'une partie de ses troupes. Un recul que les Occidentaux ont dit ne pas avoir constaté dans les faits.
20h12 : Le président ukrainien Volodymyr Zelensky confirme les propos de Jean-Yves Le Drian et assure n'avoir constaté aucun retrait réel des troupes russes massées à la frontière entre les deux pays, malgré l'annonce par Moscou d'un recul partiel. "Nous voyons une accumulation de troupes qui n'a pas changé ces dernières semaines", affirme-t-il lors d'une visioconférence, disant avoir constaté "de petites rotations" des forces russes.
20h08 : Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a déclaré que la Russie concentrait toujours "autant de forces" autour de l'Ukraine. "C'est mieux que rien. Ce sont des inflexions annoncées, mais moi je suis un peu comme saint Thomas, y compris sur des inflexions annoncées. Il faut que les inflexions soient vérifiées", a-t-il dit devant la Commission des Affaires étrangères du Sénat.
15h17 : La reconnaissance par la Russie de l'indépendance des territoires séparatistes en Ukraine constituerait une "violation grossière du droit international", a dénoncé le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken. Les députés russes ont voté hier un appel pour que la Russie reconnaisse l'indépendance de ces territoires qui affrontent, avec son soutien, l'armée ukrainienne depuis huit ans.
13h54 : Les ministres des Affaires étrangères des pays du G7 tiendront samedi une réunion consacrée à la crise entre l'Ukraine et la Russie, a annoncé un porte-parole du gouvernement allemand. La cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbock, présidera cette réunion en marge de la Conférence sur la sécurité de Munich.
13h31 : Les ressortissants français ne sont pas invités à quitter le territoire, mais l'ambassadeur leur a demandé de préparer leurs papiers et de faire des réserves au cas où les efforts diplomatiques échoueraient. Mais sur place, certains expatriés sont décidés à rester même en cas d'invasion russe. "Ma vie est ici" : il témoignent auprès de franceinfo.

(MAXPPP)
13h29 : Quels sont les contenus à ne pas manquer aujourd'hui sur notre site ?
• Concerts, masques, pass... On fait le point sur le calendrier de levée des mesures prises pour freiner l'épidémie.
• Comment les candidats se positionnent-ils sur la crise ukrainienne ? Réponse dans cet article.
• "Je pensais que c'était possible", raconte, en larmes, Clément Noël après sa victoire en slalom.
12h50 : A deux mois du premier tour de l'élection présidentielle, difficile de faire abstraction de la crise ukrainienne. Les prétendants à l'Elysée se distinguent les uns des autres en promettant d'adopter une attitude plus ou moins proche de Washington ou Moscou. Voici les positionnements de chacun.
10h43 : Le Kremlin dément toute implication dans les cyberattaques en Ukraine qui ont visé plusieurs sites internet militaires officiels et deux banques publiques, hier. "La Russie n'a rien à voir avec des cyberattaques quelconques", jure la présidence russe.
10h40 : "Nous n'avons constaté aucune désescalade sur le terrain à ce stade. Au contraire, il apparaît que la Russie continue de renforcer sa présence militaire."
Malgré des annonces de retraits partiels de la part de Moscou, l'Otan estime que "la Russie peut encore envahir l'Ukraine sans préavis", car "les capacités sont en place", avec plus de 100 000 soldats déployés.
10h43 : L'Otan accuse la Russie de "renforcer sa présence militaire" aux frontières avec l'Ukraine.
10h11 : En cas de conflit russo-ukrainien, pourrions-nous nous passer de gaz russe ? "Nous sommes en sécurité pour cet hiver", fait savoir la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, après que ses services ont "examiné les hypothèses d'un arrêt partiel ou complet des approvisionnements de gaz russe".
10h05 : "Pas un seul soldat, pas un seul équipement ne restera sur le territoire de la Biélorussie après la tenue des manœuvres avec la Russie."
Minsk assure que les troupes russes n'ont pas vocation à rester massées à sa frontière avec l'Ukraine, alors que ce déploiement a participé aux craintes d'invasion de l'Ukraine par la Russie.

(EYE PRESS NEWS / AFP)
10h23 : La Biélorussie assure que "pas un seul soldat" russe ne restera sur son sol à l'issue des exercices militaires conjoints prévus jusqu'à dimanche.
08h17 : Pourquoi une "journée de l'unité" aujourd'hui ? La date a été choisie en réaction à des rapports des services de renseignement américains qui suggéraient, ces derniers jours, que l'invasion russe du pays pourrait débuter ce 16 février.
08h15 : Pendant ce temps-là, l'Ukraine célèbre une "journée de l'unité". A l'appel du président Volodymyr Zelensky, les habitants sont invités à accrocher leur drapeau national ou afficher ses couleurs bleues et jaunes, en signe de patriotisme et de refus de "la panique" face aux menaces d'invasion.

(EyePress / AFP)
08h18 : Nouveau geste d'apaisement de la part de Moscou ? La Russie annonce le départ de certaines de ses forces qui s'étaient rendues dans la péninsule ukrainienne annexée de Crimée, où elles ont "achevé leurs exercices tactiques".
08h04 : "Je pense que la visite du président Macron à Moscou a marqué la fin de l'escalade."
Sur France Inter, le chef de la diplomatie européenne appelle à "rester vigilant" malgré l'annonce du retrait d'une partie des forces russes près de la frontière ukrainienne. "Est-ce qu'on peut dire que c'est le début de la désescalade ? Oui, peut-être, il faut voir. La Russie joue avec le froid et le chaud."
06h55 : Pendant que la chenille redémarre dans les boîtes françaises, les chenilles des chars russes aux portes de l'Ukraine font frissonner l'Europe. Certains de vos quotidiens consacrent leur une au "retrait partiel" annoncé par Moscou, accueilli avec prudence dans le camp occidental.


