Funérailles d’Elizabeth II : le défi de la sécurité pour protéger les centaines de dirigeants présents
Un million de personnes sont attendues à Londres, lundi 19 septembre, dont plusieurs centaines de dirigeants de la planète. Certains sont déjà sur place, dimanche. Pour les services de sécurité britannique, ce sont 24 heures sous tension.
Le président Joe Biden, le Premier ministre canadien, le roi de Suède, tous se sont recueillis chacun leur tour devant la dépouille d’Elizabeth II, dimanche 18 septembre. 500 dirigeants du monde entier sont venus pour les funérailles de la reine, qui auront lieu lundi. Un casse-tête pour les autorités britanniques. Joe Biden a obtenu un traitement de faveur, et pourra se présenter à l’abbaye de Westminster avec sa célèbre Cadillac blindée.
La Russie écartée des funérailles de la reine
Les autres, pour la plupart, ont rendez-vous dans la cour de l’hôpital à Londres (Royaume-Uni) pour embarquer ensemble dans des bus direction Westminster. Cela est inhabituel, mais les autorités britanniques veulent éviter la saturation des axes routiers. L’empereur du Japon, qui d’habitude ne se déplace jamais pour des obsèques, sera donc potentiellement assis aux côtés des émirs du Moyen-Orient, une première. Emmanuel Macron a lui aussi obtenu une dérogation. La Russie a été écartée de l’événement.
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