Sommet franco-britannique : "Nous avons construit un partenariat, c'est du solide", déclare Rishi Sunak sur France 2

Article rédigé par Alice Galopin, Louis San, Benoît Jourdain
France Télévisions
Publié Mis à jour
 
"C'est un moment de retrouvailles, de reconnexion et de nouveau départ", avait lancé un peu plus tôt Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse commune avec le Premier ministre britannique.

Ce qu'il faut savoir

>> Ce direct est désormais terminé.

Quinze jours avant de recevoir le roi Charles III, c'est Rishi Sunak qu'Emmanuel Macron a accueilli à Paris, vendredi 10 mars. Le rendez-vous vise à relancer l'alliance entre les deux pays après des années de brouilles. Invité du journal de 20 heures sur France 2, Rishi Sunak a déclaré que le "partenariat" entre la France et le Royaume-Uni, "c'est du solide". "Depuis que je suis Premier ministre, ça a été un grand plaisir de connaître Emmanuel [Macron]", a-t-il assuré.

Emmanuel Macron salue un "nouveau départ". "C'est un moment de retrouvailles, de reconnexion", a estimé le chef de l'Etat lors de sa conférence de presse commune avec Rishi Sunak. "Nous voulons travailler ensemble", a également affirmé Emmanuel Macron.

Immigration illégale : Londres augmente son financement à la France. "Au cours des trois prochaines années, la contribution du Royaume-Uni à ce paquet sera de 141 millions d'euros en 2023-24, 191 millions d'euros en 2024-25 et 209 millions d'euros en 2025-2026", selon un communiqué diffusé à l'issue du sommet franco-britannique à Paris. Interrogé lors de la conférence de presse, le Premier ministre britannique a évoqué un "niveau de coopération jamais vu".

  Une nouvelle loi au Royaume-Uni sur l'immigration. La ministre britannique de l'Intérieur, Suella Braverman, avait annoncé mardi une nouvelle loi visant à durcir encore la législation sur l'immigration illégale, rapporte The Guardian (en anglais).

Emmanuel Macron appelle à un "apaisement" en Géorgie. Le président français a également dénoncé des "pressions très fortes" pesant sur la Géorgie et a plaidé pour un "apaisement", après trois jours de manifestations massives dans le pays que Moscou a comparées à une "tentative" de coup d'Etat.