Les réactions politiques aux frappes françaises en Syrie
François Bayrou souhaite l'unité nationale sur cette question.
Ce dimanche 27 septembre, l'Élysée a fait savoir que la France avait débuté ses premières frappes aériennes en Syrie contre l'organisation État islamique.
"Il y aura un jour des décisions encore plus importantes à prendre. Je souhaite que le climat d'unité nationale, qui je n'en doute pas va s'exprimer aujourd'hui, soit le jour de ces décisions aussi présent et actif(...)", a déclaré le président du Modem, François Bayrou.
"Que de temps perdu"
François Fillon, député Les Républicains a lui dénoncé "le temps perdu par le gouvernement pour agir et pour comprendre qu'il faut bâtir une vraie coalition internationale avec l'appui de la Russie et de l'Iran, pour chasser les fanatiques et trouver enfin une situation politique à la crise syrienne".
"On a perdu des années très précieuses", ajoute Marine Le Pen.
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