Dimanche 27 septembre, le gouvernement a annoncé les premières frappes aériennes en Syrie. Pour les justifier, il évoque la légitime défense. "L'assassin du Thalys, comme le terroriste qui avait voulu s'attaquer à une église à Villejuif, nous nous étions rendu compte qu'ils avaient été formés en Syrie et qu'ils avaient été en contact avec la Syrie dans les jours qui ont précédé leurs actes" avait déclaré Claude Bartolone dans le magazine 12/13 dimanche.Aller plus loinFrançois Bayrou se veut solidaire de ces frappes, mais préssent des lendemains difficiles. "Il y aura un jour des décisions encore plus importantes à prendre. Je souhaite que le climat d'unité nationale, qui je n'en doute pas va s'exprimer aujourd'hui, soit le jour de ces décisions aussi présent et actif(...)".Pour François Fillon ses frappes ne suffiront pas. Il préconise une action de plus grande envergure. Enfin, le Front-National appelle à aller plus loin, et discuter directement avec Bachar al-Assad.