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En images La détresse des Grecs, partagés entre inquiétude et colère

Article rédigé par Simon Gourmellet
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min

Les banques ont baissé leurs rideaux, retraités et employés espèrent être payés... Les Grecs attendent fébrilement l'issue du bras de fer entre leur gouvernement et ses créanciers.

Les banques ont baissé leurs rideaux, les commerçants guettent les clients et les retraités espèrent toucher leurs pensions... Lundi 29 juin, avec la mise en place d'un contrôle des capitaux, une semaine inédite a commencé en Grèce, où l'économie est traditionnellement basée sur l'argent liquide.

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Depuis samedi, et la décision du Premier ministre, Alexis Tsipras, de convoquer un référendum sur les propositions des créanciers du pays, la population a mis à sec la plupart des appareils au prix de longues files d'attente pour tenter de récupérer quelques économies. Ils attendent désormais fébrilement le 30 juin, et le défaut de paiement probable de leur pays.

Jusqu'à tard dans la nuit, dimanche 28 juin, les Grecs ont fait la queue devant les banques pour tenter de retirer leurs économies. Depuis lundi, les retraits sont limités à 60 euros par jour.  (PANAYIOTIS TZAMAROS / NURPHOTO / AFP)
Des manifestant devants le parlement à Athènes appelant à dire "non", lors du référendum du 5 juillet. Les Grecs doivent se prononcer sur les réformes demandées par les bailleurs de fonds de la Grèce pour pousuivre leur aide financière. (AYHAN MEHMET / ANADOLU AGENCY / AFP)
Une Grecque devant une banque fermée, le 29 juin 2015 à Athènes (Grèce). ( ALKIS KONSTANTINIDIS / REUTERS)
"Désolé, nous sommes dans l'impossibilité tremporaire distribuer de la monnaie". Message affiché par un distributeur d'argent dans le centre d'Athènes, le 28 juin.  (PANAYIOTIS TZAMAROS / NURPHOTO / REUTERS)
La monnaie européenne, symbole de la colère des Grecs. Un manifestant anti-austérité brûle un billet de cinq euros, le 28 juin à Athènes (Grèce).  ( ALKIS KONSTANTINIDIS / REUTERS)
Un cycliste passant devant un graffiti hostile à l'Union européenne dans le centre d'Athènes, le 28 juin 2015.  (ALKIS KONSTANTINIDIS / REUTER )
Un convoyeur de fonds livrant de la monnaie à une agnce de la National Bank of Greece, le 28 juin 2015 à Athènes.  (MARKO DJURICA / REUTERS )
Des retraités attendent de toucher leurs pensions devant une agence de la Banque nationale de Grèce, à Athènes, lundi 29 juin 2015.  (ANGELOS TZORTZINIS / AFP)
Tous les Grecs ne sont pas hostiles à l'Union européenne et plus particulièrement la chancelière allemande. La preuve avec ce graffiti, signé "Grèce" et annonçant que ses habitants "aiment toujours Angela Merkel".  ( ALKIS KONSTANTINIDIS / REUTERS)

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