Environnement : pic de pollution en France
Alors que des températures printanières sont enregistrées dans l’Hexagone en plein mois de février, des pics de pollution les accompagnent.
Les températures atteignent presque des records. La barre des 20 degrés a été atteinte à Nantes (Loire-Atlantique) en plein mois de février, où les plages sont déjà investies comme pour un jour de printemps. Même chose à Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes), où la température atteint les 16 degrés et les terrasses sont remplies. Cette vague de chaleur n’a pas que du bon. À Paris, la situation anticyclonique est visible dans le ciel. Elle retient la pollution, provoquant un pic de particules fines et une atmosphère inconfortable pour les habitants de la capitale.
La préfecture de Paris abaisse les limitations de vitesse
Normalement, la température de l’air baisse avec l’altitude, permettant aux polluants de se disperser par le haut. Avec le beau temps, des couches d’air plus chaudes forment un couvercle empêchant la pollution de se disperser. Résultat : elle stagne et s’accumule. Face à ce phénomène, la préfecture de Paris abaisse les limitations de vitesse de 20 km/h, mais refuse, pour le moment, de mettre en place la circulation alternée. D’autres villes, comme Marseille (Bouches-du-Rhône) et Lyon (Rhône) sont également touchées par ce pic de pollution.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.