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Tensions entre la Russie et l'Ukraine : "La France ne peut pas être spectatrice, elle doit être inspiratrice", estime Florence Portelli

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Tensions entre la Russie et l'Ukraine : "La France ne peut pas être spectatrice, elle doit être inspiratrice", estime Florence Portelli
Tensions entre la Russie et l'Ukraine : "La France ne peut pas être spectatrice, elle doit être inspiratrice", estime Florence Portelli Tensions entre la Russie et l'Ukraine : "La France ne peut pas être spectatrice, elle doit être inspiratrice", estime Florence Portelli (France 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Florence Portelli, vice-présidente LR du conseil régional d'Île-de-France et porte-parole de Valérie Pécresse, était l'invitée des "4 Vérités" sur France 2, vendredi 4 février. 

Les tensions sont toujours vives entre l'Ukraine et la Russie. Emmanuel Macron tente une médiation entre Vladimir Poutine, l'Otan et les alliés occidentaux. Interrogée sur la stratégie qu'adopterait Valérie Pécresse, la candidate des Républicains à l'élection présidentielle, si elle accédait au pouvoir, Florence Portelli, sa porte-parole, estime vendredi 4 février que "l'ambition [du chef de l'État] est tardive". "Il faut avoir à la fois de l'humilité et de l'ambition, affirme la vice-présidente LR du conseil régional d'Île-de-France sur le plateau des "4 Vérités" sur France 2. La France ne peut pas être spectatrice, il faut qu'elle soit inspiratrice." 

Être "force de médiation, mais pas au dernier moment"

"La France a été spectatrice pendant très longtemps, juge Florence Portelli. Emmanuel Macron a reçu Vladimir Poutine une seule fois. Il fallait travailler avec la Russie bien en amont. Aujourd'hui, l'essentiel, c'est de dire à la Russie : 'On vous écoute, on vous respecte', parce qu'elle a aussi ses intérêts à défendre, et en même temps, on sera très vigilants sur l'intégrité de l'Ukraine, de ses frontières, de son territoire." Pour la porte-parole de Valérie Pécresse, il est alors nécessaire d'être "force de médiation, mais pas au dernier moment". La candidate LR propose donc une conférence de sécurité de défense européenne, "comme cela s'est fait aux accords d'Helsinki", précise Florence Portelli. 

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