Guerre en Ukraine : "Les sanctions servent un objectif qui est de renchérir le coût de la guerre" pour Vladimir Poutine, affirme Gabriel Attal
Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, était l'invité des "4V" sur France 2, mardi 15 mars.
Total, contrairement à Shell ou BP, refuse d'abandonner ses marchés en Russie alors que la guerre en Ukraine fait toujours rage. Toutefois, Gabriel Attal a indiqué que le plus important était que "les entreprises françaises appliquent les sanctions qui sont décidées". "Un quatrième paquet de sanctions a été décidé hier au niveau européen, qui prévoit notamment que les entreprises n'aient pas de nouveaux investissements en Russie", a déclaré le porte-parole du gouvernement, invité des "4V" sur France 2, mardi 15 mars, précisant que "Total avait devancé ces nouvelles sanctions en l'annonçant".
"Renchérir le coût de la guerre"
"Les sanctions qui sont décidées, elles le sont parce qu'elles servent un objectif qui est de renchérir le coût de la guerre (...), pour Vladimir Poutine, pour qu'à un moment, il ne puisse plus financer sa guerre", a poursuivi Gabriel Attal, qui a ajouté que les mesures économiques prises jusqu'ici avaient eu un réel impact sur l'économie russe.
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