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23h34 : L'ex-président russe Dmitri Medvedev a comparé le mandat d'arrêt de la CPI visant Vladimir Poutine à du papier toilette. "La Cour pénale internationale a émis un mandat d'arrêt contre Vladimir Poutine. Pas besoin d'expliquer où ce papier doit être utilisé", a-t-il écrit sur Twitter en anglais, terminant son message par un émoticône de papier toilette.
(Alexey NIKOLSKY / Sputnik / AFP)
19h49 : Le président ukrainien Volodymyr Zelensky salue la décision "historique" de la Cour pénale internationale d'émettre un mandat d'arrêt à l'encontre de Vladimir Poutine pour crime de guerre.
(STR / NurPhoto via AFP)
19h21 : "C'est un symbole extrêmement puissant qui était attendu", a réagi l'eurodéputé Place publique et vice-président de la sous-commission aux droits de l'Homme au Parlement européen Raphaël Glucksmann, après l'annonce de la prononciation d'un mandat d'arrêt international à l'encontre de Vladimir Poutine par la Cour pénale internationale (CPI).
(MAGALI COHEN / HANS LUCAS)
19h18 : Le Royaume-Uni s'est félicité de l'émission par la Cour pénale internationale (CPI) d'un mandat d'arrêt contre Vladimir Poutine pour le crime de guerre de "déportation illégale" d'enfants ukrainiens. "Nous saluons la mesure prise par la CPI indépendante pour obliger ceux qui sont au sommet du régime russe, y compris Vladimir Poutine, à rendre des comptes", a déclaré sur Twitter le ministre des Affaires étrangères britannique, James Cleverly.
17h17 : Bonjour à tous ! 123 Etats sont membres de la CPI (à titre de comparaison, l'ONU compte 193 membres), et ce n'est le cas ni de la Russie ni de l'Ukraine, même si Kiev a accepté la compétence de la Cour sur son territoire et travaille avec le procureur. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis ne sont pas non plus membres.
En pratique, les personnes ciblées par les mandats d'arrêt de la CPI ne sont pas systématiquement arrêtées quand elles mettent le pied dans un Etat membre. Le seul chef d'Etat en exercice déjà visé par la CPI, l'ex-président du Soudan Omar el-Bechir, a ainsi visité sans encombre plusieurs Etats membres (Kenya, Afrique du Sud, Tchad et Djibouti).
17h15 : Bonjour FI, le mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale a-t-il vraiment une valeur ? J'entends par là, est-ce qu'elle peut décider d'arrêter des dirigeants politiques et, si oui, a-t-elle déjà jugé des chefs d'Etat, etc ?
17h13 : Une question Louis... Combien de pays reconnaissent la Cour pénale internationnale ? Ou combien collaborent avec elle au point de livrer les suspects sous mandat d'arrêt ? La Chine ? L'Inde ? Les Etats-Unis ?
17h13 : De son côté, la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, juge ces décisions de la CPI "insignifiantes" et "dénuées de sens pour notre pays, y compris d'un point de vue juridique" car Moscou n'a aucune obligation envers elle.
16h57 : "Ce n'est que le début", se félicite le chef de l'administration présidentielle ukrainienne après l'annonce du mandat d'arrêt émis par la CPI contre Vladimir Poutine et la responsable du programme de déportation d'enfants ukrainiens en Russie. Le Parquet ukrainien a, lui, salué une "décision historique".
16h37 : Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova sont recherchés pour "déportation" et "transfert de population (enfants) depuis des zones occupées de l'Ukraine", deux crimes de guerre, explique la Cour pénale internationale dans son communiqué (en anglais). Les mandats d'arrêt ont été émis le 22 février. Ils ont, bien sûr, peu de chance de déboucher sur leur arrestation : si je ne rate rien, Vladimir Poutine n'est pas sorti de Russie depuis juillet dernier et un déplacement en Iran.
16h31 : Le président russe n'est pas le seul visé par la Cour pénale internationale, qui annonce aussi un mandat d'arrêt international contre Maria Lvova-Belova, commissaire présidentielle aux Droits de l'enfant. C'est elle qui dirige le vaste réseau de déportation d'enfants ukrainiens, confiés de façon forcée à des familles d'accueil russe. Une politique à laquelle nous avions consacré une longue enquête en janvier.
16h27 : La Cour pénale internationale annonce avoir émis un mandat d'arrêt contre Vladimir Poutine.
16h25 : Le Parlement hongrois se prononcera le 27 mars sur l'adhésion de la Finlande à l'Otan, annonce le porte-parole du gouvernement, quelques minutes après l'annonce similaire de la Turquie. Le secrétaire général de l'alliance, Jens Stoltenberg, a salué ce déblocage. Budapest, comme Ankara, continue de s'opposer à l'adhésion de la Suède.
16h15 : Le président turc Recep Tayyip Erdogan a soumis au Parlement la ratification de l'entrée de la Finlande dans l'Otan, que la Turquie est l'un des deux derniers pays à bloquer, avec la Hongrie. Une démarche qui acte la fin de la candidature commune de la Finlande et la Suède : c'est l'adhésion de cette dernière qu'Ankara cherche à empêcher tant que Stockholm n'acceptera pas l'extradition de militants kurdes réfugiés sur son sol.
15h04 : L'ONU affirme que les négociations se poursuivent, à la veille de la fin de l'accord sur l'exportation des céréales ukrainiennes. Il prévoit un renouvellement automatique pour 120 jours "sauf si une des parties notifie à l'autre son intention d'y mettre fin ou de la modifier". Or, Moscou refuse sa prolongation au-delà de 60 jours, estimant qu'un accord parallèle permettant l'exportation des engrais russes est moins bien appliqué et moins fructueux.
14h38 : Lors de la visite de Xi Jinping en Russie la semaine prochaine, le président chinois et son homologue Vladimir Poutine signeront "une déclaration commune (...) sur l'approfondissement des relations de partenariat exhaustif et de relation stratégique entrant dans une nouvelle ère", affirme le conseiller diplomatique du Kremlin. Selon ce dernier, Moscou apprécie "grandement la position pleine de retenue et d'équilibre des dirigeants chinois" au sujet de l'Ukraine.
14h57 : Emmanuel Macron a exprimé son soutien à la présidente de Moldavie, Maia Sandu, face aux "tentatives de déstabilisation russes" et aux "tensions qu'elles provoquent", rapporte l'Elysée à l'issue d'un entretien téléphonique. Il a proposé de mettre à disposition du pays "des experts, notamment en matière de cyber et d'économie". Lundi, la police moldave a annoncé le démantèlement d'un réseau qu'elle accuse d'avoir voulu déstabiliser le pays sur ordre de Moscou.
11h49 : Les avions de chasse Mig-29 que la Pologne et la Slovaquie vont prochainement livrer à l'Ukraine seront "détruits", a affirmé le Kremlin. La Russie dénonce une "implication de plus en plus grande" des pays de l'Otan dans le conflit.
11h26 : La Slovaquie livrera treize chasseurs Mig-29 de conception soviétique à l'Ukraine, a déclaré le Premier ministre. La Slovaquie devient ainsi le deuxième pays de l'Otan après la Pologne à prendre une telle décision.