Retrouvez ici l'intégralité de notre live #UKRAINE
23h57 : A son tour, la Slovaquie annonce qu'elle va expulser 35 diplomates russes de son territoire. "Mon gouvernement ne tolérera pas que les Russes mènent en Slovaquie, sous couverture diplomatique, des activités massives d'espionnage, corrompent nos citoyens, répandaient la désinformation et polarisaient notre société", a écrit sur Facebook le Premier ministre slovaque Eduard Heger. Depuis quelques jours, de nombreux pays ont décidé d'avoir recours à cette sanction. Mardi, la Belgique, l'Irlande et les Pays-Bas ont également annoncé qu'ils se sépareraient de diplomates russes, au motif que leurs activités "ne correspondent pas aux standards internationaux du comportement diplomatique".
23h41 : "On n'a pas une raison de croire ce que Poutine dit. Quand on le verra, on le croira."
L'annonce d'un cessez-le-feu à Marioupol par le ministère de la Défense russe laisse la députée ukrainienne Lesia Vasylenko dubitative. "J'aimerais y croire (...) mais sérieusement non", a réagi l'élue sur BFTMTV. "Poutine a annoncé il y a quelques jours qu'il était en deuxième phase de libération de l'Ukraine, rappelle la députée. Mais le même jour, il y a eu des bombardements dans l'ouest de l'Ukraine."
23h35 : "Nous ne croyons personne, pas une seule belle phrase."
Il reste sur ses gardes. Dans une adresse vidéo à la nation, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky a également affirmé que les forces russes se regroupaient pour attaquer la région du Donbass. "Nous ne cèderons rien. Nous nous battrons pour chaque mètre de notre territoire", a-t-il dit ajouté.
23h31 : Le président ukrainien Volodymyr Zelensky affirme qu'il ne croit "personne" à propos de la déclaration du ministère de la Défense russe de réduire son activité militaire dans le pays.
23h40 : C'est l'heure du best-of, voici les contenus qu'il ne fallait pas manquer !
• De la Syrie à l'Ukraine, on observe de nombreuses similitudes entre ces guerres menées par la Russie. De nombreux Syriens ont fait part de leur émotion et apporté leur soutien aux Ukrainiens.
• Voici l'article à lire pour comprendre la polémique sur le cabinet McKinsey, qui parasite la campagne d'Emmanuel Macron.
• Après avoir exercé son droit au silence, Salah Abdeslam réaffirme avoir "renoncé" de lui-même à se faire exploser.
22h40 : La ville de Zaporijia, située dans le sud-est de l'Ukraine, n'a pas été choisie par hasard. C'est un centre important pour soigner les victimes de la guerre, car elle abrite plusieurs hôpitaux, dont un militaire. Nos équipes y ont réalisé un reportage il y a une dizaine de jours, où les soignants doivent s'adapter à des blessures et des interventions auxquelles ils n'étaient pas forcément préparés.
(JEROME JADOT / ERIC AUDRA / FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
22h34 : Le ministère russe de la Défense a annoncé l'instauration d'un cessez-le-feu dans le port assiégé de Marioupol (Ukraine). Cette mesure doit permettre d'ouvrir un couloir humanitaire vers la ville ukrainienne de Zaporijia, selon le ministère. "Pour que cette opération humanitaire réussisse, nous proposons de la mener avec la participation directe de représentants du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés et du Comité international de la Croix-Rouge", a ajouté le ministère dans un communiqué. Ce "régime de silence" local entrera en vigueur à partir de 10 heures locales demain.
22h34 : La situation à Marioupol est particulièrement tendue. L'équipe de reporters de France 2 l'a constaté dans l'hôpital de la ville, qui tente de résister tant bien que mal aux bombardements de l'armée russe.
22h24 : Moscou annonce un cessez-le-feu demain à Marioupol, ville du sud-est de l'Ukraine, pour évacuer des civils.
22h04 : L'armée russe a commencé à se retirer de l'aéroport de Gostomel, au nord-ouest de Kiev, et "Tchernobyl est une autre zone où ils commencent à se repositionner, quittant Tchernobyl pour aller en Biélorussie", a déclaré à la presse un haut responsable du Pentagone ayant requis l'anonymat.
22h01 : Les forces russes avaient pris le contrôle de la centrale de Tchernobyl, à l'origine de la plus grave catastrophe nucléaire civile en 1986, dès le début de l'invasion du pays. Depuis, à de multiples reprises, la centrale a été coupée d'électricité, "en raison des actions militaires de l'occupant russe", avait justifié l'opérateur ukrainien Ukrenergo dans cet article.
(EYEPRESS NEWS / AFP)
21h55 : Les Russes commencent à se retirer de la centrale de Tchernobyl, dont ils avaient pris le contrôle dès le début de l'invasion de l'Ukraine, selon les services de renseignements du Pentagone.
21h46 : Le village de Mala Rogan (Ukraine) est un champ de ruines. Les forces armées ukrainiennes viennent de le reprendre aux Russes. C’est un lieu stratégique puisqu'il se situe à 4 km de Kharkiv, deuxième ville du pays. Les reporters de France 2 se sont rendus sur place, à la rencontre des survivants. Dont un couple de retraités, contraint à se terrer dans sa cave depuis un mois.
21h32 : Marioupol. Le ville du sud-est de l'Ukraine est en proie aux bombardements russes. Les immeubles sont dévastés. Au milieu des ruines, l'hôpital reste miraculeusement debout. L'équipe de France 2 a suivi les soignants qui, tant bien que mal, tentent de prodiguer des soins aux nombreux blessés.
21h26 : On vous en parlait plus tôt dans la soirée, franceinfo a eu la confirmation que le directeur du renseignement militaire français va quitter son poste, notamment à cause de sa gestion de la guerre en Ukraine. Selon une source proche du dossier, l'état-major des armées lui reproche un "manque de maîtrise des sujets" et des "briefings insuffisants".
(BENJAMIN GUILLOT-MOUEIX / HANS LUCAS)
20h34 : Le chancelier allemand, Olaf Scholz, affirme que Vladimir Poutine accepte que le gaz puisse être payé en euros. Le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Hebestreit, a précisé que Vladimir Poutine avait assuré à Olaf Scholz que les paiements de l'Europe le mois prochain "continueraient à être en euros et transférés comme d'habitude sur la Gazprom Bank, qui n'est pas frappée de sanctions", et qu'elle se chargerait de la conversion en roubles.
20h31 : Il est 20 heures, c'est l'heure du point sur l'actualité !
• Le protocole sanitaire pour l'organisation de l'élection présidentielle a été dévoilé. Voici ce qu'il faut retenir.
• La conférence de presse donnée par Amélie de Montchalin, la ministre de la Transformation et de la Fonction publique, et Olivier Dussopt, ministre chargé des Comptes publics, se poursuit. Suivez notre direct.
• Le président américain Joe Biden évoque avec Volodymyr Zelensky des capacités militaires "supplémentaires". Suivez notre direct.
• Le policier soupçonné d'avoir tué un homme à bord d'une camionnette signalée volée, samedi dernier à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a été placé en garde à vue, annonce le parquet de Bobigny dans un communiqué.
• Tantôt décidé à parler, tantôt mutique... Salah Abdeslam, seul survivant des commandos du 13-Novembre, a réaffirmé avoir "renoncé" de lui-même à se faire exploser.
L'acteur Bruce Willis, connu pour ses rôles dans les films d'action comme Le cinquième élément ou la série de longs-métrages Die Hard, annonce qu'il met fin à sa carrière pour des raisons de santé.
19h43 : Pour rappel, la semaine dernière, Vladimir Poutine ne voulait plus d'euros ni de dollars. Le chef d'Etat avait exigé que le gaz russe soit payé uniquement en roubles. On vous expliquait tout dans cet article.
(JAN WOITAS / DPA-ZENTRALBILD / DPA / AFP)
19h26 : Le chancelier allemand, Olaf Scholz, affirme que Vladimir Poutine accepte que le gaz puisse être payé en euros.
18h37 : Le directeur du renseignement français a été remercié pour "la faiblesse du renseignement français dans la crise ukrainienne", révèle l'Opinion. Selon le quotidien, le général Vidaud quitterait "prématurément" son poste "à peine sept mois après sa nomination". Une source interne au ministère des Armées évoque des "briefings insuffisants" et un "manque de maîtrise des sujets".
18h36 : "Les Ukrainiens qui viennent en France sont 36 000 aujourd'hui, ils ne sont pas des demandeurs d'asile. Ils sont des protégés temporaires."
Interrogé par le Sénat, le ministre délégué chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt, a précisé le statut des Ukrainiens arrivés en France. "L'Ofpra (l'office en charge des demandes d'asile) n'aura pas à se prononcer sur les demandes d'asile" formulées par les réfugiés et "cela donnera droit à l'allocation réservée aux demandeurs d'asile", a précisé le ministre.
18h25 : Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky et son homologue américain, Joe Biden, viennent de terminer leur entrevue. Les deux chefs d'Etat se sont entretenus pendant "une heure" et ont évalué "la situation sur le champ de bataille et lors des négociations", détaille Volodymyr Zelensky dans un tweet (en anglais). Ils ont également abordé la question "d'un soutien défensif spécifique, d'un nouveau paquet de sanctions renforcées, d'une aide macro-financière et humanitaire".
18h09 : Voici un nouveau point sur l'essentiel de l'actualité en cette fin d'après-midi :
• Après avoir exercé son droit au silence, Salah Abdeslam réaffirme avoir "renoncé" de lui-même à se faire exploser. L'audience était consacrée à son interrogatoire sur les derniers jours avant les attaques et la soirée du 13 novembre 2015. Voici notre compte-rendu d'audience.
Il existe bien un lien entre des pizzas de la marque Buitoni et certains cas récents de contaminations à la bactérie Escherichia coli chez des enfants français, annoncent les autorités sanitaires. La gamme des pizzas surgelées concernées s'appelle Fraîch'Up. Un rappel de ces pizzas est engagé depuis deux semaines.
Un bâtiment du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a été la cible de bombardements russes à Marioupol, port stratégique assiégé du sud-est de l'Ukraine, affirme une responsable ukrainienne. Suivez la situation en direct.
Les électeurs positifs au Covid-19 lors de l'élection présidentielle "pourront aller voter", déclare le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, dans son point-presse à l'issue du Conseil des ministres.
17h46 : La Slovaquie a décidé d'expulser 35 diplomates russes, annonce le ministère des Affaires étrangères du pays. Il invoque des informations fournies par les services de renseignement.
17h41 : Grâce à un programme piloté par le Collège de France et financé par le ministère de la Recherche, des enseignants ukrainiens vont pouvoir travailler dans des universités françaises durant au moins trois mois. Olivier Emond explique comment la France vient en aide aux scientifiques "qui fuient les bombes".
17h36 : Les bombes russes continuent de tomber en Ukraine, notamment sur la ville de Kharkiv. L'une des équipes de France Télévisions a suivi les habitants contraints de se réfugier dans les sous-sols. Les journalistes ont rencontré 35 personnes qui vivent dans un sous-sol depuis un mois.
16h59 : L'écrivain, journaliste et poète italien Erri de Luca, de retour d’Ukraine où il a participé à un convoi humanitaire de l’ONG Time for Life, raconte à franceinfo avoir été frappé par "la transformation de tout un peuple dans une unique forme de résistance, armée ou non armée". Lui qui avait participé à plusieurs convois humanitaires pendant la guerre de Bosnie dans les années 1990, relate cette fois son expérience en Ukraine dans une tribune publiée par le journal Le Monde.
16h51 : Un juge norvégien dirigera l'enquête de l'ONU sur les violations russes. Erik Mose, un ancien juge à la Cour suprême de Norvège et à la Cour européenne des droits de l'homme, qui a également présidé le Tribunal pénal international pour le Rwanda, a été nommé président de la commission d'enquête internationale indépendante nouvellement créée.

(MAXPPP)
16h50 : Pendant ce temps, les négociations continuent. Les discussions sont entrées dans une phase concrète : les Ukrainiens ont proposé un plan en dix points à la partie russe, qui s'est engagée à y répondre, estimant par ailleurs avoir fait des concessions et un pas vers la paix (même si, sur le terrain, les Russes poursuivent leurs opérations militaires). On vous raconte l'autre guerre de communication des négociateurs, entre avancées "positives" et rien de "prometteur".
16h47 : Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, appelle à "continuer d'intensifier les sanctions" contre la Russie jusqu'au retrait de tous les soldats russes en Ukraine. "On ne peut pas attendre du G7 de lever les sanctions juste parce qu'il y a un cessez-le-feu", a-t-il déclaré devant une commission parlementaire.
15h46 : Rappelons que Vladimir Poutine vise deux objectifs : obliger les sociétés à acheter du rouble sur les marchés internationaux, afin d'en faire remonter le cours. Et démontrer sa puissance politique face aux sanctions européennes. Malgré tout, Moscou est tout à fait conscient des risques. Le Kremlin a annoncé ce matin que cette mesure sera mise en place progressivement, sans réellement fixer de date. Bluff ou réelle volonté ? Seul l'avenir nous le dira.
15h44 : En réalité, il est plus probable que les compagnies européennes continuent de payer Gazprom en dollars et en euros, comme prévu dans les contrats. Si la Russie refusait alors d'honorer ses livraisons, elle se tirerait une "double balle dans le pied", poursuit Thierry Bros. Elle tirerait un trait sur cet argent et surtout, s'exposerait à des poursuites devant le tribunal d'arbitrage de Stockholm. "Les dommages et intérêts peuvent alors se chiffrer en centaines de milliards de dollars."
15h55 : Bonjour @Olivia. Vaste question, sur laquelle je travaille justement dans le cadre d'un article à paraître. Les compagnies européennes commettraient une lourde faute en ne réglant pas leurs factures à Gazprom. Elles s'exposeraient à des poursuites et à une éventuelle coupure des approvisionnements – environ 10% de la demande totale européenne ne pourrait pas être remplacée par du gaz naturel liquéfié (plus onéreux), m'explique Thierry Bros, professeur à Sciences Po.
15h44 : Bonjour franceinfo et merci pour vos informations précieuses. Le G7 ayant rejeté l'idée de payer en roubles le gaz russe, que va-t-il se passer en cas de non paiement ? La Russie va-t-elle couper le gaz ? Merci.
15h41 : "Vous pouvez apporter une contribution décisive à la sécurité énergétique de l'Europe en fournissant les ressources nécessaires aux pays de l'Union européenne et à l'Ukraine."
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky appelle la Norvège, deuxième fournisseur de gaz naturel de l'Europe derrière la Russie, à fournir davantage d'énergie à son pays et à l'Union européenne. Il s'est adressé aux députés et membres du gouvernement norvégien qui l'ont ensuite longuement applaudi debout.
18h00 : Voici un nouveau point sur l'essentiel de l'actualité en ce début d'après-midi :
Les électeurs positifs au Covid-19 lors de l'élection présidentielle "pourront aller voter", déclare le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, dans son point-presse à l'issue du Conseil des ministres.
Salah Abdeslam, principal accusé au procès des attentats du 13-Novembre, a décidé d'exercer son "droit au silence" en refusant de répondre aux questions de la cour d'assises spéciale.
Un bâtiment du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a été la cible de bombardements russes à Marioupol, port stratégique assiégé du sud-est de l'Ukraine, affirme une responsable ukrainienne. Suivez la situation en direct.
Après la mort d'Yvan Colonna, un rapport d'enquête que franceinfo a pu consulter explique en partie pourquoi personne n'est intervenu lors de son agression à la prison d'Arles. Voici ce qu'on peut y lire.
14h22 : "L'aviation et l'artillerie ont fait feu sur un immeuble marqué d'une croix rouge sur fond blanc", annonce Lioudmila Denisova (en russe), commissaire aux droits humains au Parlement ukrainien. Il n'y a pas encore d'informations sur d'éventuelles victimes. La responsable ukrainienne dénonce "un crime de guerre" et une violation de la Convention de Genève de 1949.

(LIOUDMILA DENISOVA / TELEGRAM)
14h01 : L'armée russe a bombardé un bâtiment de la Croix-Rouge à Marioupol, selon une responsable ukrainienne.
13h59 : A un peu plus de 13 heures, voici une sélection de contenus à ne pas rater sur notre site aujourd'hui :
• l'article à lire pour comprendre la polémique sur le cabinet McKinsey, qui parasite la campagne d'Emmanuel Macron
• Alimentation, ruralité, pesticides... Que proposent les candidats à la présidentielle pour l'agriculture ?
De la Syrie à l'Ukraine, voici les similitudes des guerres menées par la Russie
12h53 : Le négociateur en chef russe, Vladimir Medinski, doit s'exprimer aujourd'hui à Istanbul pour apporter des éclaircissements sur les négociations avec l'Ukraine.
12h39 : "Il n'y a eu aucun progrès dans les discussions sur l'opération humanitaire à Marioupol", poursuit Dmitri Peskov, au lendemain de la conversation téléphonique entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine. Le président français réclame une trêve pour évacuer la population assiégée et acheminer de l'aide.
20h30 : Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a abordé d'autres sujets. Il a annoncé que le mécanisme de paiement en roubles du gaz russe sera appliqué dès demain. "C'est un processus qui prend du temps." L'idée de faire payer en roubles d'autres marchandises (engrais, charbon, métaux, bois...) pourrait être examinée, comme le réclame (en russe) Viatcheslav Volodine, président de la Douma, le Parlement russe.
12h32 : Le porte-parole de la présidence russe a néanmoins qualifié de "positif" le fait que la partie ukrainienne ait "enfin commencé à formuler de façon concrète ses propositions et à les mettre par écrit". "Nous évitons soigneusement de faire des déclarations publiques sur le fond" des sujets faisant l'objet des pourparlers, car "nous croyons que les négociations doivent se dérouler" discrètement, a ajouté Dmitri Peskov.
12h31 : C'est une annonce qui douche les espoirs de progrès décisifs dans les négociations. Les pourparlers entre des délégations russe et ukrainienne à Istanbul hier n'ont donné lieu à rien de "très prometteur" ni à aucune "percée", déclare le Kremlin.
12h28 : Trois semaines après son départ d'Ukraine, Vika, réfugiée de 16 ans, raconte sa nouvelle vie en France. Vika et sa mère Valentina sont arrivées début mars. Plusieurs semaines après avoir fui l'offensive russe, elles témoignent de leur nouveau quotidien.

(AGATHE MAHUET / RADIO FRANCE)
12h22 : Si les Ukrainiens n’ont pas la maîtrise du ciel depuis le début de l’invasion russe, les drones sont leur point fort. A Kiev, l’unité Aerovidka les utilise pour repérer et neutraliser les colonnes de blindés de Vladimir Poutine. Explications dans ce reportage d'Etienne Monin et Gilles Gallinaro.
12h17 : Il est midi, voici un nouveau point sur l'actualité :
• L'armée russe a continué de mener des frappes aériennes sur Tchernihiv, annoncent les autorités locales, malgré l'annonce hier par Moscou d'une réduction de ses activités militaires dans la région. Suivez notre direct.
• Plusieurs candidats participent en ce moment au grand oral organisé par la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) à Besançon (Doubs). A cette occasion, franceinfo vous propose un tour d'horizon des programmes des prétendants à l'Elysée sur l'agriculture.
• Salah Abdeslam a-t-il remplacé au pied levé Mohamed Abrini dans les commandos du 13-Novembre ? Au procès de ces attaques, la cour d'assises spéciale de Paris interroge cet après-midi le principal accusé sur le déroulement d'une nuit de terreur. Ce sera à suivre dans ce live.
Après la mort d'Yvan Colonna, un rapport d'enquête que franceinfo a pu consulter explique en partie pourquoi personne n'est intervenu lors de son agression à la prison d'Arles. Voici ce qu'on peut y lire.
11h50 : A Berlin (Allemagne), des inconnus ont recouvert un char d'un drapeau ukrainien au Mémorial soviétique. Celui-ci a été retiré par la suite. L'ambassade de Russie évoque une "profanation du monument", rapporte le ministère des Affaires étrangères russe. Un courrier a été adressé à la diplomatie allemande pour exiger des poursuites contre les auteurs.
12h04 : La fuite des Ukrainiens continue. Le nombre de réfugiés qui ont quitté leur pays depuis l'invasion par l'armée russe le 24 février a franchi la barre symbolique des 4 millions de personnes, selon les chiffres du Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés. L'Europe n'a pas connu de tels déplacements de populations depuis la Seconde Guerre mondiale.