Guerre en Ukraine : des nouvelles frappes de missiles russes ont touché le pays pendant la nuit

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Un bâtiment détruit près de Kherson, en Ukraine, le 16 février 2023. (GIAN MARCO BENEDETTO / ANADOLU AGENCY / AFP)
Selon l'armée de l'air ukrainienne, 16 des 32 missiles lancés pendant la nuit par la Russie depuis des avions et un navire en mer de Noire ont pu être abattus.

Ce qu'il faut savoir

Ce direct est désormais terminé, suivez dans ce direct la soirée spéciale de France 2 consacrée à la guerre en Ukraine, près d'un an après le début du conflit. 

Un nouveau bombardement nocturne. L'Ukraine a annoncé, jeudi 16 février, avoir subi de nouvelles frappes de missiles et de drones durant la nuit. Les bombardements ont fait au moins un mort civil, et détruit de nombreuses habitations. Selon l'armée de l'air, 16 des 32 missiles lancés pendant la nuit par la Russie depuis des avions et un navire en mer de Noire ont pu être abattus.

Des ballons espions russes dans le ciel ukrainien ? Kiev a annoncé avoir abattu plusieurs "ballons" envoyés par la Russie. Les autorités ukrainiennes estiment que Moscou veut ainsi tester et localiser les systèmes de défense anti-aérienne dans la capitale.

Les signes d'une nouvelle offensive russe. Bombardements d'infrastructures énergétiques, combats dans l'Est, inquiétudes des Etats-Unis... L'Ukraine craint qu'une nouvelle étape de la guerre soit bientôt franchie.

La Moldavie également inquiète. Mardi, la Moldavie voisine a brièvement fermé son espace aérien en raison de la présence d'un "objet volant ressemblant à un ballon-sonde météo", dans un contexte de vives tensions avec Moscou.

Pékin peut-il mettre la pression sur Moscou ? Emmanuel Macron et le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, ont exprimé mercredi, lors d'une rencontre à Paris, "le même objectif de contribuer à la paix" en Ukraine "dans le respect du droit international", a déclaré l'Elysée. Emmanuel Macron ne cache pas son espoir de voir Pékin, allié important de Moscou, faire pression sur la Russie pour qu'elle revienne à la "table des négociations".