Plus de deux ans après le séisme du 22 février 2011 qui a fait 185 morts, les habitants du quartier des affaires de Christchurch ne peuvent revenir chez eux, la zone étant trop dangereuse. Alors qu'aucune date n'est donnée pour la fin des travaux, 1600 personnes ont effectué un survol de la zone pour se rendre compte de la situation.
Les terrains vagues sont encore monnaie courante dans le centre historique. Les plus gros travaux de construction jamais entrepris dans le pays devraient coûter 18 milliards d'euros. L'édification temporaire d'un centre commercial, jouxtant le périmètre interdit, a mis un peu de baume au coeur des habitants.
Les habitants de Christchurch désorientés par la lenteur des travaux
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