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La Corée du Nord sous l'œil des photographes étrangers

Article rédigé par franceinfo
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A l'occasion du lancement de son satellite, prévu mi-avril, Pyongyang a invité une cinquantaine de journalistes étrangers. Ils en ont rapporté des images rarement vues de la vie quotidienne des habitants.

A l'occasion du lancement controversé de son satellite prévu mi-avril, la Corée du Nord a invité une cinquantaine de journalistes étrangers dans le pays. Ils en ont rapporté des images rarement vues de la vie quotidienne des habitants.

La visite organisée par le régime nord-coréen part de Pyongyang, la capitale du pays, le 8 avril 2012. (BOBBY YIP / REUTERS)
Les journalistes ont voyagé dans un train spécialement affrêté par le régime. Pour le déjeuner, des plateaux repas de la compagnie aérienne nationale, Air Koryo, ont été prévus. (BOBBY YIP / REUTERS)
Le train se dirige vers la côte ouest du pays, où se situe le centre spatial d'où sera lancée la fusée controversée, objectif de la visite. (BOBBY YIP / REUTERS)
Mais le voyage est une occasion unique de photographier les zones rurales du pays, d'ordinaire peu accessibles à la presse étrangère. (PEDRO UGARTE / AFP)
Dans les campagnes, la plupart des paysans travaillent la terre à la main, ou avec une charrue tirée par un bœuf. (BOBBY YIP / REUTERS)
Les rizières et les champs sont bien entretenus de part et d'autre de la voie, mais les tracteurs sont rares. (PEDRO UGARTE / AFP)
Cette région est la plus privilégiée du pays, le grenier à riz et à céréales de la Corée du Nord. Au Nord-Est, les conditions sont plus difficiles et la population locale souffre de malnutrition chronique. (PEDRO UGARTE / AFP)
Sur les routes, des voyageurs se rendent au travail à l'arrière d'une camionnette. (PEDRO UGARTE / AFP)
De retour à Pyongyang, les journalistes ont pu visiter l'usine textile Kim Jong-suk, nommé ainsi en honneur de l'épouse du fondateur du pays Kim Il-sung. (BOBBY YIP / REUTERS)
Une ouvrière de l'usine à la tâche, le 9 avril 2012. (BOBBY YIP / REUTERS)

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