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Jamais sans leur smartphone, tour d’Afrique en photos

Mohamed Berkani

France Télévisions - Rédaction Culture

Publié le 16/11/2018 17:27

Le nombre d'utilisateurs de smartphones dans le monde, «téléphones intelligents», devrait dépasser cette année trois milliards, un peu plus de dix ans après le lancement de l'iPhone d'Apple, qui a signé une véritable rupture technologique. L'AFP est allée à la rencontre de ces femmes et hommes qui n'imaginent plus vivre sans smartphone.

Imelda Mumbi, 13 ans, tient son smartphone alors qu'elle étudie en ligne à l'aide d'une application, à Nairobi, le 8 novembre 2018.

La réfugiée nigériane Aïcha Younoussa pose avec un smartphone devant sa tente à Bol le 8 novembre 2018. En raison de la menace de Boko Haram, Aïcha et sa famille ont quitté le Nigéria il y a quatre ans pour trouver un abri dans le camp de réfugiés de Baga Sola dans le sud du Tchad.
(TONY KARUMBA / AFP) — La réfugiée nigériane Aïcha Younoussa pose avec un smartphone devant sa tente à Bol le 8 novembre 2018. En raison de la menace de Boko Haram, Aïcha et sa famille ont quitté le Nigéria il y a quatre ans pour trouver un abri dans le camp de réfugiés de Baga Sola dans le sud du Tchad. (TONY KARUMBA / AFP)

Leon Koli, garde forestier du WWF, debout dans l'eau alors qu'il pose pour une photo avec son smartphone, dans le parc national de Dzanga-Ndoki, à Bayanga, au sud-ouest de la République centrafricaine, le 1er novembre 2018. Il utilise son smartphone pour rester en contact avec sa famille dans la capitale, mais aussi pour photographier des éléphants ou des gorilles traversant son chemin dans la jungle équatoriale profonde. (FLORENT VERGNES / AFP)

Kago Kagichiri, créateur de la plateforme de tutorats en ligne appelée Eneza education, montre l'application sur son téléphone portable dans la capitale kényane, Nairobi, le 8 novembre 2018. Cette plateforme a pour objectif de faire parvenir l'éducation dans les zones particulièrement rurales d'Afrique, par SMS ou par Internet pour 10 shillings kényans (0,086 euro) par semaine. Environ cinq millions de personnes sont inscrites au Kenya, au Ghana ou encore en Côte d'Ivoire. (TONY KARUMBA / AFP)

A 13 ans, Imelda Mumbi vient de passer le certificat concluant le cycle d'école primaire au Kenya. Elle utilise son téléphone «pour étudier, réviser et parfois pour m'amuser quand elle s'ennuie». L'adolescente étudie depuis quatre ans sur le Web. (TONY KARUMBA / AFP)

Le 7 novembre 2018, le soldat tchadien Ali Adam Agar pose avec un smartphone devant le lac Tchad. Ali utilise son smartphone pour écouter les versets du Coran pendant qu'il patrouille au bord du lac. (MICHELE CATTANI / AFP)

Mohamed Abdelkader, 29 ans, propriétaire égyptien de téléphones mobiles, pose avec son smartphone dans son magasin d'Al-Noubaria, dans le gouvernorat de Beheira, au nord-est de la capitale Le Caire, le 8 novembre 2018. Mohamed utilise son smartphone pour suivre les réseaux sociaux. (KHALED DESOUKI / AFP)

Conservatrice adjointe à la Galerie d'art nationale du Zimbabwe, Valerie Tafadzwa Sithole pose avec son smartphone à Harare le 9 novembre 2018. Elle communique avec des galeries internationales et partage des portefeuilles d'artistes sur des plateformes de médias sociaux, pour plus de visibilité. (JEKESAI NJIKIZANA / AFP)

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