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LA PHOTO. Au Kenya, Uhuru Kenyatta prête serment et promet «d'unifier le pays»

Cette prestation de serment est la fin d'une longue saga électorale marquée par l'invalidation, le 8 août 2017, du scrutin présidentiel au Kenya. Cette élection a rappelé les profondes fractures ethniques, géographiques et sociales du pays. Le candidat de l'opposition, Raila Odinga, refuse toujours de reconnaître la victoire de M.Kenyatta et promet une campagne de «désobéissance civile».
Article rédigé par Michel Lachkar
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Réélu à la présidentielle d'octobre boycottée par l'opposition, M.Kenyatta a prêté serment sous les vivas des 60.000 personnes rassemblées dans un stade de la capitale Nairobi, en présence de 13 chefs d'Etat, principalement africains. Au matin du 28 novembre, la police a bouclé un terrain du sud-est de Nairobi où l'opposition, qui a boycotté l'élection d'octobre, entendait organiser son propre rassemblement. Quand quelque 200 partisans de l'opposant Raila Odinga ont tenté de se rendre sur les lieux, la police a répondu à coups de gaz lacrymogène et par des tirs de semonce. (Batz Ratner/reuters)

Uhuru Kenyatta a prêté serment pour un second mandat à la tête du Kenya. Réélu à la présidentielle d'octobre boycottée par l'opposition, M.Kenyatta a prêté serment sous les vivas des 60.000 personnes rassemblées dans un stade de la capitale Nairobi, en présence de 13 chefs d'Etat, principalement africains. Au matin du 28 novembre, la police a bouclé un terrain du sud-est de Nairobi où l'opposition, qui a boycotté l'élection d'octobre, entendait organiser son propre rassemblement. Quand quelque 200 partisans de l'opposant Raila Odinga ont tenté de se rendre sur les lieux, la police a répondu à coups de gaz lacrymogène et par des tirs de semonce.

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