Cet article date de plus d'onze ans.

Les boxeuses d’Ouganda

Article rédigé par Laurent Filippi
France Télévisions
Publié Mis à jour
De plus en plus d’Ougandaises pratiquent la boxe pour pouvoir se défendre de la violence dans les quartiers défavorisés, mais aussi espérer sortir de la pauvreté. Sur une population urbaine de quatre million et demi d’habitants, plus de la moitié vit dans les bidonvilles.

Onze photos de Michele Sibiloni, datées de décembre 2012, illustrent ce propos.

Le bidonville de Kataanga, dans la capitale ougandaise Kampala, où vit la famille Tutyanabo.
 
 
 (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Les deux sœurs Tutyanabo et leur mère reçoivent une amie et son enfant, chez elles.
 
Helen, 23 ans, et Diana, 20 ans, voudraient devenir des boxeuses professionnelles.
 

 
  (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Avec d’autres jeunes, elles se retrouvent à la salle de gym du bidonville pour pratiquer leur passion.
 

  (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Helen s’est mise à la boxe pour apprendre à se défendre après qu’un homme l’a agressée et violée.
 

  (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Aujourd’hui, elle aimerait que sa passion lui permette de gagner de l’argent pour échapper à la misère.
 
 ( AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Alors que les habitants vivent en moyenne avec trois dollars par jour, un combat peut rapporter entre 25 et 50 dollars.
 
 (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Diana veut elle aussi devenir boxeuse professionnelle ou… sage-femme.
 
 
 (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Maureen, une de leurs amies s’entraîne régulièrement. Elle espère comme les autres filles pouvoir changer de vie.
 
 
 (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Les deux sœurs ont déjà remporté des médailles face à des boxeuses professionnelles.
 
Helen a récemment remporté un prix dans un championnat régional d’Afrique de l'Est.
 
 
 ( AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Mais en attendant d’avoir plus d’argent, elles continuent de collecter des ordures végétales, principalement des pelures de bananes. 
 
 
 (AFP PHOTO/Michele Sibiloni)
Revendues au bord de la route, les pelures seront transformées en nourriture animale bon marché.
 
 
 ( AFP PHOTO/Michele Sibiloni)

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