De larges remparts ceinturaient le village construit dans une sorte de pisé, le "kershef", fait notamment avec le sel présent en abondance dans la région. En 1926, trois jours de pluies diluviennes, rarissimes dans la région, avaient ravagé la cité. Aujourd'hui, pour renforcer le tourisme, des écolodges sont développés en reprenant les techniques ancestrales. Une façon de faire travailler les artisans locaux et de faire revenir les visiteurs étrangers dans cette oasis éloignée des spots traditionnels du tourisme égyptien.