Accès à l'eau, immigration, sécurité à Mayotte : retrouvez l'interview d'Elisabeth Borne, en visite sur l'archipel

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 16 min
La Première ministre, Élisabeth Borne, est en déplacement à Mayotte. Elle doit aborder en moins de 24 heures la question de l’accès à l’eau, de l’habitat mais aussi de la sécurité.
Insécurité, crise de l'eau, santé... Retrouvez l'entretien d'Elisabeth Borne à Mayotte la Première La Première ministre, Élisabeth Borne, est en déplacement à Mayotte. Elle doit aborder en moins de 24 heures la question de l’accès à l’eau, de l’habitat mais aussi de la sécurité. (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
La Première ministre était interrogée sur la crise multiple que traverse ce territoire depuis plusieurs mois.

Peu d'annonces face à des crises qui s'intensifient. Dans le cadre de sa visite à Mayotte, vendredi 8 décembre, la Première ministre Elisabeth Borne a répondu aux questions de Mayotte La Première. Alors que la population mahoraise n'a accès à l'eau potable qu'un jour sur trois en moyenne, la cheffe du gouvernement était très attendue sur cette thématique, ainsi que sur le dossier de la délinquance et de l'immigration illégale.

"On va vraiment mettre les moyens nécessaires pour assurer la sécurité à Mayotte", a notamment promis Elisabeth Borne. "Il faut sans doute refaire des opérations coup de poing pour marquer un coup d'arrêt sur ces violences", affirme la Première ministre. "S'il faut mettre davantage de moyens à Mayotte, nous en mettrons, pour que les personnes puissent être jugées et condamnées".

Concrètement, cette politique s'illustrera par une pérennisation de certains effectifs mobilisés, notamment au cours de l'opération Wuambushu. "Dès l'année prochaine, il y aura deux brigades de gendarmerie supplémentaires", souligne la cheffe du gouvernement. Cela avait, en effet, été annoncé début octobre par le président de la République, Emmanuel Macron.

Consultez lamétéo
avec
voir les prévisions

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.