Jean-François Copé : coup monté ou accusation fondée ?
Faut-il parler d'une "affaire Copé" ? L'hebdomadaire "Le Point" accuse le patron de l'UMP d'avoir favorisé, l'agence de communication de deux de ses proches. Le journal évoque 8 millions d'euros.
Des prestations surévaluées, des meetings de N. Sarkozy surfacturés pendant la campagne pour favoriser des proches de Jean-François Copé. Le Point cogne fort, le patron de l'UMP lui évoque un déferlement de haine.
C'est un coup monté sordide, avec des propos rapportés, des informations mensongères, des amalgames et un seul objectif: déstabiliser et détruire le chef de l'opposition que je suis, et porter atteinte à mon honneur. Derrière ça, il y a un homme qui est Franz Olivier Giesbert.
De son côté, Franz-Olivier Giesbert éditorialiste au Point dément toute cabale personnelle.
Quand il y a un problème au lieu de répondre, il dit c'est ma faute. Je veux bien, pourquoi pas, ça me fait de la pub, mais j'ai l'impression de prendre une balle perdue.
Mais quelles sont les accusations de l'hebdomadaire ? Dans le viseur du Point, la société Bygmalion. Pascal Millot et Guy Alves la dirige. Elle gère tout. Certains frais seraient facturés le double de ce qui se fait.
On donne un devis, il est validé et la prestation est facturée.
Il n'y a aucun preuve de ces allégations.
Il y a un écoeurement, mais je ne suis pas surpris comme beaucoup d'élus UMP.
Jean-François Copé va déposer plainte dpour diffamation.
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