Cet article date de plus d'onze ans.

Invitée : Nolwenn Leroy, "We love Disney"

Publié
vidéo : 48min
Ce replay n'est plus disponible.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Elle revient en prêtant sa voix à un personnage de dessin animé. Voici maintenant l'invitée des Cinq Dernières Minutes. Cette invitée est Nolwenn Leroy. Bonjour et merci d'être avec nous pour "We Love Disney", un album qui sort aujourd'hui. Racontez-nous ce projet.

Nolwenn Leroy : C'est ma maison de disques qui en a eu l'idée, une première. On a revisité les classiques. Toutes les générations connaissent ces chansons, ces classiques. On aborde ça avec une grande humilité. Il y a de la rigueur dans le choix des chansopns et des interprètes. il n'est pas facile de se réapproprier ces chansons.

Elise Lucet : Qu'est-ce qui vous a donné envie de participer.

Nolwenn Leroy : Lorsqu'on est artiste, c'est ce qu'on a en commun avec les enfants : la capacité de rêver. la création, c'est ce qui rapproche le monde des artistes et celui des enfants. Mes projets personnels sont influencés par les contes. je suis aussi une "enfant Disney", je regardais ça en boucle.

Elise Lucet : On retrouve beaucoup de stars de la jeune génération, comme Jenifer, Thomas Dutronc, Ben l'oncle soul mais aussi Garou ou Alex Beaupin.

Nolwenn Leroy : Oui, le projet est éclectique. Il y a des artistes d'horizons divers et c'est ce qui fait la richesse du projet. Chacun se réapproprie la chanson, sans trop la modifier. moi, j'aime le côté désuet des premiers Disney. J'ai choisi la chanson de Pinocchio, qui a été primée aux oscars. Cette chanson qui est dans les aigus fait réver ! Je n'ai pas baissé la tonalité.

Elise Lucet: En marge de ce projet collectif, vous écrivez un nouvel album.

Nolwenn Leroy : on arrête jamais véritablement d'écrire. Ces dernières années, tout s'est accéléré, avec l'album "Bretonne" notamment. On est beaucoup amené à partir sur les routes à la rencontre du public. J'aime l'idée d'écrire un disque en étant sur scène.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.