Interview avec Michel Drucker
Bonsoir Michel, merci d'être avec nous en direct de la base de Salon-de-Provence. Qu'est-ce qui vous attire dans cette expérience.
Michel Drucker : J'ai toujours aimé ce qui volait. J'ai fait mon service dans l'armée de l'air J'ai 1500h et les pilotes du Tour nous donnent des images de rêve. J'atatque l'avion à l'aéroclub d'avignon, j'ai toujours aimé voler. Je suis colonel de réserve de l'armée de l'air.
David Pujadas : En sortant de l'avion, vous aviez l'air sonné, mais très souriant. C'est éprouvant physiquement.
Michel Drucker : c'était mon premier jour de vacances après un an de télé et de radio. J'étais fatigué et j'ai 23 ans de plus que quand j'ai commencé ! L'âge moyen des pilotes c'est 33 ans. Je suis content et je leur dis merci.
David Pujadas : Qu'est-ce qui est le plus difficile : la voltige ou la télévision le dimanche.
Michel Drucker : dans les deux cas on est éjectable.
David Pujadas : Merci. Bon courage pour dimanche.
David Pujadas : De l'appréhension.
Michel Drucker : pas pour le survol des Champs. C'est le passage au-dessus du VEntoux, on va mettre 4( min pour saluer les spectateurs Je me reposerai ici vers 11h30.
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