L'Union européenne a décidé d'attaquer Google pour abus de position dominante. Le géant californien risque une amende de 6 milliards d'euros, mais il compte bien riposter."Hors de question de se laisser faire. D'ailleurs, Google a commencé à réagir en prenant acte de l'accusation et en se déclarant en net désaccord", rapporte Marc de Chalvron, en direct de Bruxelles. "Concrètement, Google a dix semaines pour faire une réponse formelle à la Commission européenne et pourra ensuite être auditionné", poursuit le journaliste de France 2.Obama avait critiqué le protectionnisme de l'UE"Derrière ce bras de fer économique, il y en a un plus politique entre l'Union européenne et les États-Unis. En février, Barack Obama avait critiqué l'Union européenne en référence à Google, il l'avait accusé de protectionnisme", conclut Marc de Chalvron en direct de Bruxelles.