Locations saisonnières : des propriétaires inventent des dégâts mobiliers
Partir en vacances, dans un Airbnb, passer du bon temps, et recevoir une note salée à peine rentrée : c’est ce qui est arrivé à Emmanuelle, estomaquée quand la propriétaire du logement loué en Corse lui réclame 2 570 euros pour des dégâts mobiliers qu’elle nie avoir causés. La jeune femme conteste, et grâce à une vidéo faite par un ami, elle voit la facture annulée par la plateforme. Depuis quelques jours, les cas fleurissent sur le réseau social X. Tout est parti d’un poste viral, un étudiant qui se voit réclamer 290 euros pour une tache de gel douche dans un tiroir. Dans un autre cas, un propriétaire demandait 4 000 euros pour le revêtement d’une piscine soi-disant abîmé.
Prendre des photos et des vidéos
Là aussi, le jeune homme obtient gain de cause, vidéo à l’appui. Mais ce n’est pas toujours le cas. Sollicité, Airbnb explique qu’il peut contacter chaque partie pour avoir toutes les informations. Un conseil : il faut faire, dès l’arrivée, un inventaire complet du bien avec des photos et des vidéos.
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