Impôts : les manoeuvres d'Apple
Le toit est arraché.
Ils n'ont pas voulu leur premier etage Aucun système d'alerte n'est mis au point depuis.
Apple triomphe avec ses téléphones, ses tablettes ou ses baladeurs. Mais le temps se gâte pour ce colosse aux bénéfices faramineux. Car Apple paie très peu d'impôts grâce à un système fiscal élaboré. L'Europe avait élevé le ton. Le Sénat américain veut changer la donne.
Des smartphones hyper-sophistiqués, des tablettes Des ordinateurs souvent en avance sur leurs concurrents. On connaissait le génie marketing d‘Apple, on découvre son ingéniosité en matière de fiscalité. En 2011, malgré 17 milliards d'euros de bénéfices, le groupe n'aurait payé que 7,8 millions d'euros, soit 0,05 % d'impôts. Normalement c'est 35 % aux Etats-Unis. De quoi énerver les parlementaires Américains.
Jurez vous de dire toute la vérité, rien que la vérité ? Je le jure.
Le PDG récuse toute évasion fiscale.
Nous ne cachons pas d'argent aux Caraïbes. Nous n‘évitons pas l'impôt.
Porutant dans un rapport de 40 pages la mécanique est détaillée avec pultiplication des filiales à l'étranger Objetif: sortir du siège le plus de revenus et les disperser dans des filiales.
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