Cet article date de plus d'onze ans.

Immobilier : des syndicats trop abusifs

Publié
vidéo : 40min
Ce replay n'est plus disponible.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Cecile Duflot veut mettre fin aux abus en encadrant les tarifs.

On s'arrête un instant sur cette question des syndics qui gèrent les finances des copropriétés. Cela fait des années qu'on parle d'abus. Quels sont précisément ces abus.

Dans cette copropriétaé, le parking fâche. Jusque la, ils appartenaient a la résidence et il a été cédé a la ville le parking sera bientît pyants, les locataires ne sont pas d'accord. Ils ont appelé à l'aide un nouveau syndic.

Il a initié une affaire qui met les gens en difficulté. Il devrait les protéger, être un bouclier.

Tout ça ce sont des copropriétés qui ont pris contact avec nous Ils nous demandent d'être leur Ils ont été abusés.

1996, une affaire de commission illégale sur cet immeuble des champs Elysees En 2002, un procès d'un syndic qui touche des commissions illégales. 11 ans après, on en est presque au même point 5 groupes se partagent le marché. Jusqu'à 25 clauses abusives.

La tenue de l'AG hors des heures ouvrables est facturée en plus du forfait Selon les tribunaux, à partir de 18h, il doit être dans le forfait.

Dans cet immeuble, on tient le syndic à l'oeil. Aujourd'hui un chantier débute et il est surveille par un copropriétaire.

20.000 euros de chantier, la moitié du budget de l'année. Alors, il ne laisse rien passer.

S'il y a quoi que ce soit, on le découvre trop tard. On ne peut pas demander à un sydic de tout suivre de A à Z.

A 73 ans, il est président du conseil syndical, il fait l'intermédiaire entre le syndic et les copropriétaires Il vérifie, compare les offres.

La photocopie est facturée 30 L'ancien la facture à 40 centimes. Les contrats d'entretien, rien de spécial, sont factures a 340 euros pour les 9 pages Résultat, il estime que la copropriété a économisé 24 000 euros Mais cela prend du temps.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.