La France reste ferme envers le président syrien, six jours après les attaques du 13 novembre. "Si on veut aller vers l'unité de la Syrie, ce n'est évidemment pas Bachar Al-Assad qui peut être l'avenir de la Syrie", a déclaré Laurent Fabius sur France Info, jeudi 19 novembre.Une rencontre avec Vladimir PoutineNéanmoins, le ministre des Affaires étrangères reconnaît une inflexion : "Il faut quand même engager des discussions avec l'ensemble des forces en présence."C'est dans ce contexte que le président François Hollande, accompagné de Laurent Fabius, rencontrera son homologue russe, Vladimir Poutine, le 26 novembre, dans le cadre de la lutte contre le groupe Etat islamique et du règlement de la situation en Syrie.